Les réactions se multiplient sur Twitter, en majorité pour dénoncer le résultat du vote. Beaucoup de twittos auraient aimé voir le pays un peu plus ouvert, notamment sur la question du droit de vote aux étrangers.
Référendum
Les réactions sur Twitter
Les réactions se multiplient sur Twitter, en majorité pour dénoncer le résultat du vote. Beaucoup de twittos auraient aimé voir le pays un peu plus ouvert, notamment sur la question du droit de vote aux étrangers.
(CR) - Ce dimanche 7 juin, les Luxembourgeois étaient appelés à se prononcer par référendum sur trois questions concernant le droit de vote à 16 ans, le droit de vote des étrangers et la limitation du mandat des ministres à 10 ans. Comme les sondages l'avaient prédit, c'est le "non" qui l'a très largement emporté et ce, sur les trois questions.
Les réactions se multiplient sur Twitter avec le hashtag #ReferendumLux, la plupart pour dénoncer le résultat du vote. Beaucoup auraient en effet aimé voir le pays un peu plus ouvert, notamment sur la question du droit de vote aux étrangers. Mais d'autres se félicitent du choix des Luxembourgeois.
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Dimanche 7 juin, les citoyens luxembourgeois sont appelés à trancher trois questions.
A quelques jours du scrutin
Dimanche, les Luxembourgeois vont aller aux urnes et répondre à trois questions dont une concerne le droit de vote des étrangers. Quelles sont les tendances et les positions des partis politiques? Voici le point sur le référendum du 7 juin.
1 fois «oui», deux fois «non»
Une fois «oui», deux fois «non». A quelques semaines du référendum, le Luxemburger Wort prend position. Explications avec le rédacteur en chef, Jean-Lou Siweck.
Les trois questions posées
La campagne officielle du référendum débute officiellement ce lundi. Le 7 juin, les Luxembourgeois – et uniquement les Luxembourgeois – sont appelés à se prononcer par oui ou par non sur trois questions précises.
A un mois du jour J, le LCGB réaffirme qu'il est pour l'ouverture du droit de vote aux étrangers mais qu'il est contre la limitation des mandats de ministres à dix ans et contre le droit de vote à 16 ans. Le syndicat estime que les partis politiques auraient dû s'accorder sur les trois questions au lieu de passer par un référendum.
Le CSV votera trois fois «non» lors du référendum du 7 juin. C'est ce que le conseil national du parti a décidé lundi soir.