Luxembourg
2 min.26.06.2020Cet article est archivé
Les écoliers bientôt tous réunis
Les écoliers bientôt tous réunis
Dès lundi, les enfants d'une même classe seront réunis dans la cour de récréation, mais les classes ne pourront se mélanger entre elles.
Photo: Guy Jallay
L'heure des retrouvailles a sonné. Divisés en deux groupes depuis un mois, les enfants inscrits à l'école fondamentale seront à nouveau tous rassemblés dès lundi. Un nouveau pas vers la normalité, malgré des mesures sanitaires toujours de rigueur.
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L'heure des retrouvailles a sonné. Divisés en deux groupes depuis un mois, les enfants inscrits à l'école fondamentale seront à nouveau tous rassemblés dès lundi. Un nouveau pas vers la normalité, malgré des mesures sanitaires toujours de rigueur.
La parenthèse du covid-19 s'efface peu à peu. Depuis la rentrée le 25 mai dernier, les quelque 6.000 enfants de l'école fondamentale sont en effet divisés en deux groupes. Mais après un peu plus d'un mois de fonctionnement en alternance, les classes seront à nouveau réunies dès lundi.
Des retrouvailles toutefois de courte durée. Il reste en effet 13 jours de classe avant les vacances d'été, toujours fixées au 15 juillet. Mais pour Claude Meisch (DP), cette réunion des groupes A et B apparaît «justifiée», notamment au vu des statistiques encourageantes du nombre de malades. Depuis la reprise le mois dernier, seuls huit cas positifs ont été recensés à l'école fondamentale publique.
Malgré ce faible taux d'infections, les mesures sanitaires restent de vigueur. Ainsi, s'ils peuvent faire tomber le masque à l'intérieur des classes, à l'extérieur, la protection buccale reste vivement conseillée à tous les enfants de plus de six ans. Pas question non plus d'aller voir les camarades des autres classes : les pauses devront toujours être prises en décalé. En revanche, dès lundi, les écoliers des groupes A et B d'une même classe pourront à nouveau jouer ensemble dans la cour de récréation.
Pour ces derniers jours de classe, les activités sportives seront elles aussi à nouveau possibles, tout comme les excursions scolaires, à la condition qu'elles restent journalières. Autrement dit, sans nuitée. Autant d'assouplissements marquant un nouveau pas vers la normalité.
Mais pour le ministre de l'Education, ce retour à la (presque) normale permet avant tout «d'aborder la prochaine rentrée de septembre sans souci». Une rentrée dont les contours restent encore flous à ce jour, bien que le ministère de l'Education espère qu'elle sera tout ce qu'il y a de plus normal.
L'enseignement à distance (obligatoire) pour la première semaine de cours 2021 n'est pas la seule annonce faite par le ministre de l'Education, mardi. Il a aussi été question d'aération, d'examens, de dépistage et de deux nouvelles helplines.
«Un pas de plus vers la normalité». C'est en ces termes que Claude Meisch a qualifié ce vendredi le rassemblement des groupes A et B dans chaque classe d'ici dix jours et jusqu'au 15 juillet. Un retour «justifié», selon le ministre de l'Éducation nationale, dans l'optique de la rentrée de septembre.
L'Etat devra débourser de l'ordre de 280 millions d'euros pour assurer le revenu des parents ayant fait le choix de s'occuper de leur enfant durant la crise. Mais le dispositif dans son état actuel ne devrait pas se poursuivre sitôt l'année scolaire achevée.
Que ce soit en matière de confinement ou de reprise des activités, les 27 n'ont pas toujours parlé d'une même voix. Si une majorité d'Etats membres envisage une ouverture des frontières dès le 15 juin, des restrictions subsistent dans d'autres. Tour d'horizon.
Claude Meisch a présenté la nouvelle organisation de l'enseignement fondamental, valable à compter du 25 mai. Les 6.000 écoliers seront séparés en groupes, avec cours obligatoire de 8h à 13h et un encadrement facultatif l'après-midi.
Alors que l’Allemagne, la Belgique et la France organisent progressivement le retour à l’école se pose désormais la question des prochaines vacances scolaires et de la rentrée de septembre. Tour d’horizon des décisions prises au Luxembourg et chez nos voisins.
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Jean-Michel HENNEBERT
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