Les cardiologues continueront à travailler en collaboration avec le CHdN «en tant que partenaires».
Photo: Shutterstock
Avec l'annonce du départ des deux tiers de ses effectifs, le service dédié aux maladies du cœur craint de ne pouvoir maintenir une prise en charge de qualité de ses patients, et préfère tomber le rideau.
Avec l'annonce du départ des deux tiers de ses effectifs, le service dédié aux maladies du cœur craint de ne pouvoir maintenir une prise en charge de qualité de ses patients, et préfère tomber le rideau.
Nouveau rebondissement à l'hôpital d'Ettelbruck. Cinq jours après l'annonce de la démission de six de ses médecins, le groupe cardiologique a informé, ce mardi, mettre fin à ses activités à compter du 1er janvier.
Au cœur de cette décision, la bonne prise en charge des malades. «Nous ne nous voyons plus en mesure de maintenir le service [...] et en même temps notre pratique de cardiologie avec la qualité médicale nécessaire», justifient les professionnels de santé dans leur communiqué.
Les médecins ne claquent néanmoins pas la porte de l'hôpital. Les cardiologues continueront ainsi à travailler en collaboration avec le Centre hospitalier du Nord (CHdN) «en tant que partenaires».
Pour rappel, le CHdN avait d'ores et déjà dû fermer sa maternité temporairement, au printemps dernier. En cause, là aussi, un manque de pédiatres.
Une pénurie de professionnels de santé qui prend ses racines dans le plan hospitalier. Aucune disposition n'est en effet inscrite à propos de l'indemnisation des spécialistes de garde, ce qui n'est pas sans poser problème tant au niveau des départs que du recrutement de nouveaux médecins.
Interrogée sur la situation au Centre hospitalier du Nord (CHDN) à la Chambre, la ministre Paulette Lenert a indiqué qu'avec leur préavis, les cardiologues sur le départ resteraient encore jusqu'en mars.
La ministre explique ensuite qu'il n'existe pas de formation en pédiatrie au Luxembourg. Les jeunes qui souhaiteraient se former à cette discipline doivent donc se rendre à l'étranger.
Une catastrophe comme celle vécue en Turquie et en Syrie pourrait-elle se reproduire au Luxembourg? Eléments de réponse avec Adrien Oth, chercheur et directeur scientifique au Centre européen de géodynamique et de séismologie (ECGS).
Esma travaille pour Caritas Luxembourg et vit à Gaziantep, ville turque particulièrement touchée par le séisme. Elle raconte la situation sur place. De son côté, Caritas a lancé un appel aux dons.
Le gain a été remporté par un Luxembourgeois avec un parieur du Schleswig-Holstein en Allemagne. Le dernier vainqueur de l'Euromillions au Luxembourg date de janvier 2020.
Une catastrophe comme celle vécue en Turquie et en Syrie pourrait-elle se reproduire au Luxembourg? Eléments de réponse avec Adrien Oth, chercheur et directeur scientifique au Centre européen de géodynamique et de séismologie (ECGS).
Esma travaille pour Caritas Luxembourg et vit à Gaziantep, ville turque particulièrement touchée par le séisme. Elle raconte la situation sur place. De son côté, Caritas a lancé un appel aux dons.
Le gain a été remporté par un Luxembourgeois avec un parieur du Schleswig-Holstein en Allemagne. Le dernier vainqueur de l'Euromillions au Luxembourg date de janvier 2020.