Les personnels du service d'oncologie du CHL ont reçu un "smiling mask" de la part de Laura da Silva (en vert).
Photo : Gerry Huberty
Une infirmière du Centre hospitalier de Luxembourg a développé des masques-sourires. Une jolie façon de renforcer la communication non verbale dans l'hôpital et donner aux patients un sentiment positif même pendant cette période délicate.
Une infirmière du Centre hospitalier de Luxembourg a développé des masques-sourires. Une jolie façon de renforcer la communication non verbale dans l'hôpital et donner aux patients un sentiment positif même pendant cette période délicate.
(pj avec Rosa Clemente) L'idée est aussi simple que son résultat précieux. Peindre des sourires sur les masques de protection dont disposent les personnels soignants. Si Laura da Silva, responsable du blog sur le cancer du sein du Centre hospitalier de Luxembourg (CHL), a mis en place cette initiative ce n'était pas seulement pour exprimer un quelconque talent artistique. Au-delà du dessin, il s'agissait de montrer combien la communication non verbale jouait un rôle important, notamment dans le secteur hospitalier. D'où l'initiative de multiplier les "Smiling Masks".
«En effet, malheureusement, une partie du contact interpersonnel entre les infirmières et les patients se perd actuellement dans les services, estime la professionnelle de santé. Et cela parce que les expressions faciales sous les masques de protection sont impossible à voir.»Pourtant, en cette période d'épidémie, il est primordial que les infirmières puissent répondre aux attentes de réconfort des patients, inquiets. Une confiance qui peut passer par la simple vue de ce sourire peint.
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Lokales,Smiling masks/CHL Onkologie-ITV Laura Silva. Foto: Gerry Huberty/Luxemburger Wort
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Avec ses masques, Laura da Silva entend ainsi transmettre un peu de joie et de réconfort aux patients et peut-être même les aider à sourire un peu eux-mêmes. «Les personnes traitées à l'hôpital souffrent deux fois plus actuellement. Elles doivent lutter contre leur maladie et faire face à la solitude. Comme les visites ne sont pas autorisées, elles ne peuvent pas espérer être proches de leurs proches, ce qui est très stressant pour certains patients», explique l'infirmière de formation.
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Luxembourg
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par
Jean-Michel HENNEBERT
3 min.05.03.2021
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