La rentrée de mardi concernera plus de 90.000 écoliers
La rentrée de mardi concernera plus de 90.000 écoliers
Ils seront 58.317 à fréquenter l'enseignement fondamental cette année, public et privé confondus
Photo: Guy Wolff
Le 15 septembre, 91.048 élèves de l'enseignement public âgés de 4 à 18 ans retrouveront le chemin de l'école. Ils seront encadrés par 10.891 enseignants. Des effectifs en hausse par rapport aux rentrées précédentes.
Le 15 septembre, 91.048 élèves de l'enseignement public âgés de 4 à 18 ans retrouveront le chemin de l'école. Ils seront encadrés par 10.891 enseignants. Des effectifs en hausse par rapport aux rentrées précédentes.
Alors que Claude Meisch (DP), le ministre de l'Éducation nationale esquissera jeudi les contours pédagogiques de la rentrée scolaire 2020, son ministère a publié ce jeudi les chiffres y attenant. Le mardi 15 septembre, 91.048 élèves âgés de 4 à 18 ans reprendront le chemin de l'école, soit 52.043 dans le fondamental et 39.005 lycéens. S'y ajoutent 16.105 élèves de l'enseignement privé, qui ont quant à eux déjà repris les cours.
Les effectifs sont en hausse par rapport aux levées précédentes (+ 1.734 unités comparé à 2019/2020). Avec 1.914 élèves, le Lycée technique Mathias Adam est le plus fréquenté du pays, juste devant le Lycée technique du Centre (1.882). De leur côté, les Écoles européennes regroupent cette année 5.972 élèves et le lycée Vauban 2.530.
S'agissant du total général des élèves - fondamental et secondaire public et privé, formation des adultes et Institut national des langues -, il s'établit à 152.153, soit une hausse de 1.958 élèves par rapport à l'année dernière. Par ailleurs, 10.891 enseignants officieront dans l'enseignement public, 6.359 dans le fondamental et 4.532 dans le secondaire. Les femmes sont largement majoritaires, représentant 69% des effectifs.
Et puisqu'il s'agira d'une rentrée très particulière dans le cadre de la crise du covid-19, Claude Meisch avait expliqué la semaine dernière sous quelles conditions sanitaires le retour en classes aura lieu. La ligne de conduite est de tout mettre en oeuvre pour que l'enseignement en présentiel puisse perdurer.
Cette fois, les vacances sont bel et bien finies. Dans des conditions inédites imposées par la crise sanitaire, des dizaines de milliers d'élèves de l'enseignement public âgés de 4 à 18 ans ont retrouvé ce mardi matin le chemin de l'école.
Il n'y aura pas de vérification de température des élèves entrant à l'école ou au lycée. Aux familles d'être vigilantes sur les éventuels symptômes pouvant laisser penser à une infection covid.
A onze jours de la rentrée, Claude Meisch a expliqué sous quelles conditions sanitaires le retour en classes aurait lieu. Avec cette ligne de conduite : tout faire pour que l'enseignement en présentiel puisse perdurer.
Quinze jours avant les écoles luxembourgeoises, les élèves des établissements privés du pays ont retrouvé leurs camarades de classe. Un redémarrage des cours atypique que les directions ont préparé avec l'espoir de limiter au maximum les risques d'infection au covid-19.
Cinq cas de covid-19 ont été détectés à l'International School of Luxembourg à Merl. Dès vendredi dernier, tests de contrôles et mesures d'isolement ont été pris parmi les élèves et les personnes ayant eu des contacts avec les jeunes testés positifs .
L'ensemble des écoliers, collégiens et lycéens français reprennent le chemin des cours à compter de ce 1er septembre pour une rentrée «la plus normale possible» espère le gouvernement. Mais l'épidémie de covid-19 fait planer la menace d'un durcissement des règles d'accueil.
L'infection respiratoire causée par le coronavirus maintient 136 personnes infectées dans les hôpitaux luxembourgeois. 70% des décès en lien avec l'épidémie ont eu lieu en milieu médical.
Au Luxembourg, comme ailleurs en Europe, une épidémie de rhinopneumonie sévit dans les écuries. Et les vétérinaires ont bien des difficultés à se procurer les sérums protecteurs pour les montures.
L'objectif des 49% de véhicules à moteur électrique au Luxembourg d'ici 2030 relève de l'imaginaire, à en croire le directeur de l'Automobile Club de Luxembourg. Et Jean-Claude Juchem a des arguments plein son coffre.
Deux études publiées mardi affirment que le variant «britannique» du coronavirus n'entraîne pas plus de formes graves de covid-19, à rebours des conclusions de précédents travaux de recherche, mais confirment qu'il est bien plus contagieux que les souches précédentes.
L'armée luxembourgeoise prend la menace d'attaques informatiques très au sérieux. Petit à petit, sa stratégie s'affirme dans ce domaine où effectifs, matériels et transmissions sont autant de sources de vulnérabilité.
L'infection respiratoire causée par le coronavirus maintient 136 personnes infectées dans les hôpitaux luxembourgeois. 70% des décès en lien avec l'épidémie ont eu lieu en milieu médical.
Au Luxembourg, comme ailleurs en Europe, une épidémie de rhinopneumonie sévit dans les écuries. Et les vétérinaires ont bien des difficultés à se procurer les sérums protecteurs pour les montures.
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Deux études publiées mardi affirment que le variant «britannique» du coronavirus n'entraîne pas plus de formes graves de covid-19, à rebours des conclusions de précédents travaux de recherche, mais confirment qu'il est bien plus contagieux que les souches précédentes.
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