Etienne Schneider (LSAP), Xavier Bettel (DP), Corinne Cahen (DP) et Felix Braz (Verts)
Guy Jallay
La répartition des ministères par parti a été annoncée vendredi, l'accord de coalition entre le DP, les Verts et le LSAP a été signé ce lundi en fin d'après-midi au ministère des Affaires étrangères.
La répartition des ministères par parti a été annoncée vendredi, l'accord de coalition entre le DP, les Verts et le LSAP a été signé ce lundi en fin d'après-midi au ministère des Affaires étrangères.
L'accord de coalition a été signé ce lundi à 17 heures à Luxembourg, au ministère des Affaires étrangères. Ce document contient les accords issus des négociations de coalition qui ont eu lieu depuis les résultats des élections législatives du 14 octobre.
Afin de faire front au parti de centre droit des chrétiens-sociaux (CSV), le DP (Demokratesch Partei), les Verts et le LSAP se sont rassemblés.
Des réunions ont eu lieu afin d'harmoniser les positions des différents partis. Chaque parti a désigné des négociateurs après concertation afin de rester fidèle et clair vis-à-vis des idées du parti.
Les négociateurs des différents partis se sont ensuite réunis en groupes de travail avec Xavier Bettel, formateur du gouvernement, pour rencontrer les responsables des principales administrations du pays.
Une fois que tous sont d'accord et que les principales thématiques sont mises en évidence, les ministères sont attribués, l'accord de coalition peut être signé: c'est le programme que le gouvernement présente pour une durée de cinq ans.
Leur objectif: définir ensemble le futur programme gouvernemental en faisant en sorte que chacun s'y retrouve. Les Verts, démocrates et socialistes ont entamé cette semaine les fameuses «négociations de coalition». Concrètement comment se passe une séance plénière? Qui participe aux groupes de travail? Qui tranche en cas de blocage? Combien de temps ont-ils?
Le parti chrétien-social va observer à la loupe les négociations de coalition et reste ouvert à toute discussion avec un ou plusieurs partenaires de coalition. Le CSV estime qu'il a davantage de points communs avec le DP. Avec 33 sièges à la Chambre, une coalition DP-CSV constituerait un gouvernement solide.
C'est fait: la coalition DP-LSAP-Déi Gréng repart pour cinq nouvelles années à la tête du pays. Xavier Bettel retrouve son fauteuil de Premier ministre.
Lors du débat sur RTL qui a rassemblé les têtes de liste peu après 23h30 dimanche, les candidats n'ont pas annoncé de nouvelle coalition, mais les Verts et le DP ne rejetaient pas l'idée de poursuivre celle qui a dirigé le pays pendant cinq ans.
Cinq jours après l'officialisation des résultats des élections communales, les négociations de coalition entre CSV, DP et Les Verts sont lancées. Alors que ça coinçait encore jeudi, la base des Verts a donné un feu vert lumineux à Martin Kox.
Fini le ménage à trois. C'est un mariage inédit entre le CSV et Les Verts, auquel s'attendraient le plus les électeurs luxembourgeois s'ils devaient voter ce dimanche. A part les fidèles du DP, plus personne ne voit aujourd'hui le parti de Xavier Bettel avoir des chances de rester au gouvernement.
Préoccupés par la nouvelle variante du virus, de nombreux pays de l'UE demandent des mesures plus restrictives. Si certains pays d'Europe ont d'ores et déjà renforcé leur dispositif sanitaire, le Luxembourg tente, lui, d'attirer l'attention sur la spécificité de la Grande Région.
La défense a pu s'expliquer devant le tribunal pour tenter de dédouaner le promoteur de toute accusation de malversations dans la gestion de ses affaires. Le verdict est maintenant attendu d'ici cinq semaines.
Les inscriptions sont désormais closes pour la vente de 136 appartements à (très) bas coût proposés via le Fonds Kirchberg. Et pour la seconde fois, la liste d'attente des postulants relèvera d'un tirage au sort.
Remise sur le devant de la scène médiatique via la sanction infligée à l'eurodéputée Monica Semedo, la question du mobbing sur le lieu de travail constitue une réalité au Luxembourg. Même en période de télétravail intensif. Un phénomène, à ce jour, toujours pas encadré par la loi.
Pour son traditionnel discours de Nouvel An, Nora Back, présidente de la Chambre des salariés, n'a pas caché son désarroi face aux conséquences de la crise sanitaire. Raison pour laquelle elle appelle le gouvernement à «entendre» ses revendications.
Préoccupés par la nouvelle variante du virus, de nombreux pays de l'UE demandent des mesures plus restrictives. Si certains pays d'Europe ont d'ores et déjà renforcé leur dispositif sanitaire, le Luxembourg tente, lui, d'attirer l'attention sur la spécificité de la Grande Région.
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