Le Laboratoire national de santé a découvert cette souche dans trois échantillons de tests covid effectués au Luxembourg.
Après l'annonce d'un 36e dépistage du variant britannique du covid-19, mercredi, le Laboratoire national de Santé (LNS) vient de confirmer la présence du variant sud-africain du virus dans trois échantillons traités par ses soins.
Le rapport hebdomadaire du LNS indique que les deux premiers cas de ce variant désigné sous le nom de B.1.351 ont été détectés la deuxième semaine de janvier, avant la découverte d'un troisième cas la semaine dernière. A l'instar du variant britannique, le LNS classe le B.1.351 dans les variants «préoccupants». Leur transmissibilité plus élevée et la protection réduite offerte contre eux par des anticorps neutralisants sont en effet inquiétantes. Eux aussi classés dans cette catégorie, les cas de «variant japonais/brésilien» n'ont cependant pas encore été détectés au Luxembourg selon le LNS.
Douze variants différents ont tout de même été détectés grâce aux analyses réalisées par le Laboratoire national. Son rapport hebdomadaire indique qu'en cette fin de mois, «la lignée la plus répandue est la B.1.160 (38 %), suivie du variant britannique B.1.177 (16 %), toutes deux représentant de grands groupes européens».
Le Laboratoire national de Santé n'a toujours pas trouvé de traces de cette souche dans les tests covid analysés par ses soins. Par contre, le variant britannique est bien devenu majoritaire dans le pays.
Le dernier rapport du Laboratoire national de santé confirme la progression de la souche B.1.1.7 au Luxembourg. Elle a doublé en importance en une semaine, selon le séquençage de la dernière semaine de janvier.
Pour Taina Bofferding, le recours à des sociétés privées pour assurer des missions de sécurité devrait prochainement ne plus être d'actualité, la ministre de l'Intérieur plaidant pour que des fonctionnaires déjà en place, dotés de nouvelles compétences, assurent ce travail.
Alors que la troisième phase du Large Scale Testing débutera certainement à la mi-mars, le ministère de la Santé a fait ses comptes. Cette nouvelle étape de dépistage covid nécessite une enveloppe de 64 millions d'euros.
C'est désormais jusqu'au 14 mars que les limitations de la loi covid s'imposent, et les agents de la police grand-ducale entendent se montrer intraitables sur les infractions constatées.
Initiée quelques mois avant le début de la pandémie pour tenter de pallier les lacunes actuelles, la table ronde Santé a initié à ce jour 13 projets, tous voués à réformer le système actuel. Tour d'horizon des changements à venir.
La ministre de la Santé luxembourgeoise assure qu'aucune obligation du port de ce type de protection n'est pour l'heure envisagée. Mais d'autres parties de l'Europe ont déjà adopté le FFP2 dans leur quotidien.
Pour Taina Bofferding, le recours à des sociétés privées pour assurer des missions de sécurité devrait prochainement ne plus être d'actualité, la ministre de l'Intérieur plaidant pour que des fonctionnaires déjà en place, dotés de nouvelles compétences, assurent ce travail.
Luxembourg
par
Jean-Michel HENNEBERT
2 min.24.02.2021
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Luxembourg
par
Jean-Michel HENNEBERT
3 min.23.02.2021
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