Dans le quartier d' affaires où le prix du m2 dépasse habituellement les 12.000 euros, deux projets vont permettre la réalisation de 136 appartements à tarif accessible. La vente vient de démarrer.
Dans le quartier d' affaires où le prix du m2 dépasse habituellement les 12.000 euros, deux projets vont permettre la réalisation de 136 appartements à tarif accessible. La vente vient de démarrer.
D'un côté Baumeister-Haus, de l'autre Tralux Immobilier et au milieu le secteur du Réimerwee, au Kirchberg. C'est là que les deux promoteurs vont démarrer la construction de deux projets résidentiels à coût abordable. Le Fonds Kirchberg mettant à disposition les terrains nécessaires pour l'édification de 82 habitats pour le premier, et 54 unités pour le second. Et c'est ce vendredi qu'a débuté la possibilité pour les futurs acquéreurs de postuler.
Il est prévu que le Fonds Kirchberg, chargé de l'aménagement du quartier, se rende propriétaire d'une douzaine d'appartements (sur les 136). Ceux-ci seront ensuite gérés par la SNHBM (Société nationale des habitations à bon marché) qui se chargera d'en assurer la location abordable. Tout le reste est à la libre disposition du public. Et cela «sans aucun critère de revenu et de fortune», mais selon des profils déterminés à l'avance. A savoir :
Ne pas être propriétaire au Luxembourg et/ou à l’étranger lors de la signature de l’acte ou ne plus être propriétaire au cas échéant dans les 3 mois après la remise des clés.
Habiter soi-même le logement pour une utilisation principale, permanente et personnelle.
Toute location future du bien sera interdite.
Il va de soi que ces sept nouveaux immeubles s'inscrivent dans la volonté du Fonds Kirchberg non seulement de gagner plus d'habitants sur cette partie de la ville (+ 20.000 en 20 ans), mais aussi de faciliter l’accession dans un contexte difficile de pénurie de logements et où les tarifs immobiliers s'envolent. Mission qui tient aussi à coeur le ministre du Logement, Henri Kox (Déi Gréng) qui compte faire des acteurs publics des exemples en la matière.
A terme, le Kirchberg (qui compte aujourd'hui un peu plus de 7.000 habitants) espère abriter près de 27.500 personnes et accueillir 66.700 salariés à l'horizon 2040. Des chiffres confirmés par le nouveau directeur, Marc Widong. Population au profil social mixte si possible, d'où ce choix affirmé de créer plus de logements abordables sur le quartier d'affaires.
Pas de spéculation
Henri Kox, soutenu par le ministre des Travaux publics François Bausch, a donc mandaté le Fonds Kirchberg pour que, avant 2023, 757 appartements abordables soient mis en vente dans les secteurs Réimerwee et Domaine Kiem, par exemple. D'ici 2026, 1.038 logements devront sortir de terre aussi bien du côté de l'ancien bâtiment Eurocontrol que sur Grünewald Ouest, le long du boulevard Adenauer ou sur le site Laangfur. Sans oublier les 3.127 logis prévus sur les 24 hectares du Kuebebierg, la dernière grande réserve foncière encore inexploitée.
Afin d'éviter que les 136 appartements à prix bas au départ ne viennent alimenter le marché spéculatifs, il a été convenu que ces biens seront cédés par bail emphytéotique, et non en pleine propriété. «Les acquéreurs ne pourront pas faire de plus-value significative puisque le Fonds dispose d’un droit de rachat selon des critères tarifaires précis.»
Présenté à l'été, le projet de loi visant à combler le vide juridique actuel prend peu à peu forme. Jeudi, le ministre du Logement a levé le voile sur un concept voué à clarifier les droits et les devoirs entre propriétaires et occupants d'un bien.
Après Belval, au tour des friches d'Esch-Schifflange de changer de destination. Le ministre de l'Aménagement du territoire, Claude Turmes, rappelle l'esprit de ce futur quartier d'habitat, favorisant les mobilités publiques et les espaces de vie.
Alors que la deuxième vague de covid-19 bat son plein, le gouvernement a décidé, vendredi, de maintenir l'interdiction d'augmenter les loyers à usage d'habitation jusqu'au 30 juin 2021.
Situés en bordure de la frontière française, les 10,5 hectares de l'ancienne friche industrielle doivent se transformer en nouveau quartier écologique. Les premiers des 3.000 habitants attendus à deux pas du centre-ville d'Esch-sur-Alzette, doivent emménager d'ici 2024-2025.
Le conseil communal a approuvé, lundi, la construction du lotissement «Guddebierg». Un projet comprenant 99 maisons unifamiliales et 311 logements collectifs. Au moins 10% étant réservés pour du logement à coût modéré.
Avec un budget gonflé de 11% pour le ministère du Logement et un paquet de mesures annoncées, le gouvernement se donne plus de moyens pour faire face à la pénurie d'habitats abordables. «De l'affichage», gronde l'opposition.
Face à la difficulté croissante de trouver de quoi se loger au Luxembourg, une vingtaine d'associations et syndicats organisent, samedi, une manifestation à Luxembourg. But : pousser les politiques à faire plus, et plus vite.
Le ministère du Logement aura investi 550 millions pour soutenir cet effort dans la production d'appartements ou logements accessibles au plus grand nombre. Et Henri Kox promet plus encore pour l'avenir.
Le Fonds Kirchberg recherche l'investisseur qui voudra miser sur son nouveau projet d'habitat, Kiem 2050. Un concept de 155 appartements (dont bon nombre en colocation) avec ateliers bricolage, chambres d'amis ou de vastes espaces de réception à partager entre occupants.
Préoccupés par la nouvelle variante du virus, de nombreux pays de l'UE demandent des mesures plus restrictives. Si certains pays d'Europe ont d'ores et déjà renforcé leur dispositif sanitaire, le Luxembourg tente, lui, d'attirer l'attention sur la spécificité de la Grande Région.
La défense a pu s'expliquer devant le tribunal pour tenter de dédouaner le promoteur de toute accusation de malversations dans la gestion de ses affaires. Le verdict est maintenant attendu d'ici cinq semaines.
Les inscriptions sont désormais closes pour la vente de 136 appartements à (très) bas coût proposés via le Fonds Kirchberg. Et pour la seconde fois, la liste d'attente des postulants relèvera d'un tirage au sort.
Remise sur le devant de la scène médiatique via la sanction infligée à l'eurodéputée Monica Semedo, la question du mobbing sur le lieu de travail constitue une réalité au Luxembourg. Même en période de télétravail intensif. Un phénomène, à ce jour, toujours pas encadré par la loi.
Pour son traditionnel discours de Nouvel An, Nora Back, présidente de la Chambre des salariés, n'a pas caché son désarroi face aux conséquences de la crise sanitaire. Raison pour laquelle elle appelle le gouvernement à «entendre» ses revendications.
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