A partir du dimanche 3 novembre, le service nocturne et gratuit de transports en commun passera de 4 à 7 lignes à Luxembourg. De quoi ravir les noctambules pour les prochains week-ends d'hiver.
Luxembourg
2 min.28.10.2019Cet article est archivé
A partir du dimanche 3 novembre, le service nocturne et gratuit de transports en commun passera de 4 à 7 lignes à Luxembourg. De quoi ravir les noctambules pour les prochains week-ends d'hiver.
Les bus de la Ville de Luxembourg ont transporté plus de 40 millions de passagers l'an passé. Et une partie de ces usagers ont notamment pu apprécier les cars mis à disposition chaque nuit de vendredi à samedi et de samedi à dimanche. A l'approche des fêtes, un joli cadeau attend les habitués de ce service puisque décision a été prise de desservir de nouveaux quartiers.
Les City Night Bus vont ainsi plus que doubler en un claquement de doigts. Ils fonctionnaient sur 4 lignes, les voilà passant à sept lignes dès ce dimanche 3 novembre. «Il faut adapter nos services aux nouvelles habitudes de vie», indique Patrick Goldschmidt à l'heure de présenter l'ensemble du dispositif. Et l'échevin à la mobilité de la capitale (DP) de prévenir: «Il ne s'agit pas d'un test mais bien d'une nouvelle étape dans le développement de notre offre». Mais une chose ne changera pas, elle: la gratuité des voyages proposés, jusqu'à 3h30 du matin.
A compter de la semaine prochaine, les City Night Bus assureront des navettes supplémentaires vers les quartiers de Hamm, Pulvermühl, Weimeshof, Mühlenbach, Rollingergrund, Beggen ou Dommeldange. Le réseau des lignes «CM» adoptera la configuration suivante:
Les élus de la capitale ont décidé d'augmenter le cadencement sur quatre lignes de transports publics. De quoi éviter aux passagers de se retrouver trop nombreux dans un même autocar.
D'ici la fin du mois, l'opérateur de carsharing ne disposera plus de neuf mais de seize stations dans la capitale. Après quatre ans de fonctionnement, la société a fidélisé 680 clients ayant au total parcouru 900.000 km dans les véhicules mis à disposition.
Dès le 3 novembre, bien des changements attendent les usagers des bus (RGTR comme AVL) et tout particulièrement au centre-ville. Avancée du tramway oblige, les lignes doivent adapter leurs parcours et arrêts. Mais bonne nouvelle: le chantier reste dans le bon timing.
Les immenses halls pour garer et entretenir les bus de la Ville de Luxembourg quitteront la rue de Bouillon pour être reconstruits à proximité du nouveau stade national à Kockelscheuer. La date n'est pas définie mais leur coût sera 34% plus cher.
Les «conflits entre cyclistes et piétons sont préprogrammés» dès novembre sur le boulevard Roosevelt et le viaduc estime la LVI. Etonné de la réaction du lobby cycliste, l'échevin en charge de la mobilité de Luxembourg-Ville défend sa politique.
Luxembourg-ville veut renouveler sa flotte et acquérir 28 bus électriques pour 16 millions d'euros. Si le collège échevinal espère «en recevoir quelques-uns cette année», cette annonce politique se heurte à la réalité de la production à l'échelle européenne.
Préoccupés par la nouvelle variante du virus, de nombreux pays de l'UE demandent des mesures plus restrictives. Si certains pays d'Europe ont d'ores et déjà renforcé leur dispositif sanitaire, le Luxembourg tente, lui, d'attirer l'attention sur la spécificité de la Grande Région.
La défense a pu s'expliquer devant le tribunal pour tenter de dédouaner le promoteur de toute accusation de malversations dans la gestion de ses affaires. Le verdict est maintenant attendu d'ici cinq semaines.
Les inscriptions sont désormais closes pour la vente de 136 appartements à (très) bas coût proposés via le Fonds Kirchberg. Et pour la seconde fois, la liste d'attente des postulants relèvera d'un tirage au sort.
Remise sur le devant de la scène médiatique via la sanction infligée à l'eurodéputée Monica Semedo, la question du mobbing sur le lieu de travail constitue une réalité au Luxembourg. Même en période de télétravail intensif. Un phénomène, à ce jour, toujours pas encadré par la loi.
Pour son traditionnel discours de Nouvel An, Nora Back, présidente de la Chambre des salariés, n'a pas caché son désarroi face aux conséquences de la crise sanitaire. Raison pour laquelle elle appelle le gouvernement à «entendre» ses revendications.
Préoccupés par la nouvelle variante du virus, de nombreux pays de l'UE demandent des mesures plus restrictives. Si certains pays d'Europe ont d'ores et déjà renforcé leur dispositif sanitaire, le Luxembourg tente, lui, d'attirer l'attention sur la spécificité de la Grande Région.
La défense a pu s'expliquer devant le tribunal pour tenter de dédouaner le promoteur de toute accusation de malversations dans la gestion de ses affaires. Le verdict est maintenant attendu d'ici cinq semaines.
Les inscriptions sont désormais closes pour la vente de 136 appartements à (très) bas coût proposés via le Fonds Kirchberg. Et pour la seconde fois, la liste d'attente des postulants relèvera d'un tirage au sort.
Remise sur le devant de la scène médiatique via la sanction infligée à l'eurodéputée Monica Semedo, la question du mobbing sur le lieu de travail constitue une réalité au Luxembourg. Même en période de télétravail intensif. Un phénomène, à ce jour, toujours pas encadré par la loi.
Pour son traditionnel discours de Nouvel An, Nora Back, présidente de la Chambre des salariés, n'a pas caché son désarroi face aux conséquences de la crise sanitaire. Raison pour laquelle elle appelle le gouvernement à «entendre» ses revendications.