Luxembourg
2 min.09.06.2020Cet article est archivé
Deux autres spécialités médicales au programme de l’Uni
Deux autres spécialités médicales au programme de l’Uni
La neurologie devrait être enseignée à l'Uni à partir de la rentrée académique 2021.
Photo: Shutterstock
Alors qu’à la rentrée prochaine l'Université du Luxembourg proposera un bachelor en médecine, les étudiants pourront prochainement suivre deux nouvelles spécialisations à partir de 2021: l’oncologie et la neurologie.
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Deux autres spécialités médicales au programme de l’Uni
Alors qu’à la rentrée prochaine l'Université du Luxembourg proposera un bachelor en médecine, les étudiants pourront prochainement suivre deux nouvelles spécialisations à partir de 2021: l’oncologie et la neurologie.
(DH) - La crise sanitaire a pointé du doigt la dépendance du Luxembourg en matière sanitaire envers les pays voisins. Pour y remédier, étape par étape, le pays s'est engagé sur la voie de la formation de personnels soignants. Après, l'idée d'une école d'infirmières franco-luxembourgeoise, et un bachelor en médecine lors de la prochaine rentrée académique, ce sont deux spécialités, l'oncologie et la neurologie qui seront enseignées à l'Université du Luxembourg.
Pourquoi ces deux spécialités? Tout simplement parce qu'elles viendront compléter les travaux du Luxembourg Institut of Health. En effet, l'organisme de recherche biomédicale public s'est spécialisé dans ces deux domaines. L'option prise par le gouvernement permettra ainsi de conserver une «certaine continuité et de proposer un échange entre chercheurs et étudiants en médecine», a précisé le ministère de l'Enseignement supérieur.
Pour rappel, et jusqu'à présent, l'Uni ne proposait qu'une seule année de médecine. Les étudiants qui suivaient ce cursus rejoignant ensuite une université partenaire, en France, en Allemagne ou en Belgique pour poursuivre leurs études. Les étudiants pourront ainsi revenir au pays y achever leur formation à l'issue de leurs six premières années de médecine.
La durée des études spécialisées en oncologie et en neurologie est de cinq ans. Par ailleurs, des semestres à l'étranger dans des hôpitaux universitaires seront également possibles afin d'acquérir des compétences spécifiques pour des maladies moins fréquentes au Grand-Duché, a encore spécifié le ministère. Ce dernier espère mettre en place ce cursus en 2021, après accord de Bruxelles.
Pour ce qui est de la mise en place d'un master en médecine, aucune décision gouvernementale allant dans ce sens n'a été prise à ce jour. De même en ce qui concerne la décision d'augmenter les indemnités des médecins en formation pour les inciter à revenir au Luxembourg.
L'absence de clarté sur le port des masques, le manque de données sur le matériel, un système qui repose en grande partie sur les frontaliers. Propulsée ministre de la Santé juste avant la crise sanitaire, Paulette Lenert, fait le point.
Annulées à cause de la pandémie de covid-19, les journées d'information de l'Université vont céder leur place à des visites virtuelles. Vidéos, témoignages mais aussi conférences, tout va être mis en place à partir de ce mercredi pour répondre au mieux aux demandes des étudiants.
La ministre de la Santé a détaillé, lundi, la nouvelle organisation du système de santé mise en place pour faire face à la pandémie de covid-19. Un défi logistique et administratif de taille.
L'AMMD est très préoccupée par la pénurie annoncée de médecins au Luxembourg et prévient qu'à l'horizon 2030 la situation pourrait devenir catastrophique. Les médecins et dentistes attendent surtout des réponses de leurs deux ministres de tutelle.
Pour attirer plus de généralistes luxembourgeois après leurs études à l'étranger, le pays envisage de recourir à la sensibilisation et aux incitations financières. Le prochain lancement d'un bachelor en études médicales en 2020 devrait également aider à retenir les talents au Grand-Duché.
Ce mercredi, l'Université du Luxembourg a indiqué avoir recruté le chirurgien luxembourgeois Gilbert Massard, pour mettre en place le cycle d'études médicales qu'il dirigera dès septembre 2020.
A 15h ce vendredi, le Premier ministre luxembourgeois devrait annoncer de très légères levées de restrictions. Même si les dernières données sur la contamination semblent favorables, variants et doutes sur les vaccins freinent les enthousiasmes.
En travaux depuis 2018, le chantier accueillera ses premiers locataires en 2023. Si sa tour de dix étages surplombe déjà le quartier de la gare, le bâtiment de 37.500 m² ne représente qu'une partie du site final.
Deux semaines de phase-pilote, sur 6 établissements, ont suffi à convaincre le ministère de l'Education de miser sur des kits de dépistage covid pour l'ensemble des 120.000 scolaires et enseignants du pays.
Quinze détenus ayant été dépistés covid positif, le centre pénitentiaire de Luxembourg se retrouve confiné. Certains contacts ne sont plus autorisés, mais les visites restent possibles jusqu'au rétablissement de la situation sanitaire.
Jusqu'à présent peu repérée dans les analyses du Laboratoire national de santé, la souche sud-américaine du covid a pris un peu plus d'importance la semaine passée au Luxembourg.
A 15h ce vendredi, le Premier ministre luxembourgeois devrait annoncer de très légères levées de restrictions. Même si les dernières données sur la contamination semblent favorables, variants et doutes sur les vaccins freinent les enthousiasmes.
En travaux depuis 2018, le chantier accueillera ses premiers locataires en 2023. Si sa tour de dix étages surplombe déjà le quartier de la gare, le bâtiment de 37.500 m² ne représente qu'une partie du site final.
Deux semaines de phase-pilote, sur 6 établissements, ont suffi à convaincre le ministère de l'Education de miser sur des kits de dépistage covid pour l'ensemble des 120.000 scolaires et enseignants du pays.
Quinze détenus ayant été dépistés covid positif, le centre pénitentiaire de Luxembourg se retrouve confiné. Certains contacts ne sont plus autorisés, mais les visites restent possibles jusqu'au rétablissement de la situation sanitaire.
Jusqu'à présent peu repérée dans les analyses du Laboratoire national de santé, la souche sud-américaine du covid a pris un peu plus d'importance la semaine passée au Luxembourg.