Près de 6% du personnel RGTR en arrêt à cause du covid
Perturbations à cause d'Omicron
Près de 6% du personnel RGTR en arrêt à cause du covid
Les voyageurs devront prendre leurs dispositions dans les prochains jours pour se déplacer en bus.
Photo: Anouk Antony
La hausse des contaminations au covid touche aussi le personnel du réseau RGTR. A cause de ces infections, la liste des lignes de bus supprimées s'allonge pour les prochains jours.
La hausse des contaminations au covid touche aussi le personnel du réseau RGTR. A cause de ces infections, la liste des lignes de bus supprimées s'allonge pour les prochains jours.
Le variant Omicron majoritaire à 86% début janvier continue de semer la pagaille dans le réseau des transports RGTR. Avec une hausse des infections parmi le personnel, plusieurs lignes sont supprimées, annonce l'administration des transports publics dans un communiqué. Contacté, le directeur de l'administration Alex Kies indique que sur 4.000 chauffeurs de bus du réseau, près de 6% sont en arrêt à cause du covid: «Ce sont soit des personnes infectées, cas contact ou qui doivent s'occuper de leurs enfants qui ont attrapé le virus.» Selon le directeur, le nombre de cas positifs au virus a fortement augmenté parmi le personnel depuis mi-janvier.
Avant de devoir supprimer des lignes, les 32 sociétés du réseau RGTR ont d'abord recours à leur propre réserve de chauffeurs, explique Alex Kies. Un dispositif privilégié pour garantir le bon fonctionnement du réseau. «Les absences sont variables par entreprises et si elles ont une plus grande réserve, elles peuvent être plus flexibles pour trouver des remplaçants.»
De son côté, les CFL disent observer de près l'évolution des cas positifs au covid au sein de l'entreprise.
Les chiffres ont considérablement augmenté ces dernières semaines avec l'arrivée du variant Omicron, qui se transmet plus rapidement que les variants précédents.
Les absences pour cause de maladie dans les écoles ne sont pas un phénomène nouveau pendant l'hiver, a déclaré le ministre Meisch. Cette fois-ci, le défi est néanmoins plus compliqué, a-t-il confié.
Pendant deux semaines, des paléontologues ont fait des fouilles à la recherche de témoins vieux de 183 millions d'années à Bascharage. Ils viennent de présenter leurs résultats.
Après deux ans d'absence, la grande fête sportive revient ce samedi. Dans la capitale, quelques aménagements pratiques sont néanmoins mis en place pour l'occasion afin de permettre aux résidents et spectateurs de se déplacer.
Le Dr Gérard Schockmel, médecin spécialiste en maladies infectieuses aux Hôpitaux Robert Schuman et expert auprès de l'Agence européenne du médicament, évoque la propagation de la variole du singe.
Pendant deux semaines, des paléontologues ont fait des fouilles à la recherche de témoins vieux de 183 millions d'années à Bascharage. Ils viennent de présenter leurs résultats.
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Luxembourg
par
Simon Laurent MARTIN
8 min.25.05.2022