Luxembourg
2 min.04.05.2020Cet article est archivé
Claude Meisch garde le cap
Claude Meisch garde le cap
Près de 6.000 élèves de terminale ont repris ce lundi le chemin des classes de cours.
Photo: Guy Jallay
Le déconfinement progressif des écoles est en marche depuis ce lundi. Malgré les critiques et les nombreuses interrogations, le ministre de l'Education compte bien respecter les échéances mises en place par le gouvernement.
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Claude Meisch garde le cap
Le déconfinement progressif des écoles est en marche depuis ce lundi. Malgré les critiques et les nombreuses interrogations, le ministre de l'Education compte bien respecter les échéances mises en place par le gouvernement.
(ER) - Malgré les critiques des syndicats, de certains parents, d'enseignants eux-mêmes et même une pétition (1550 ) qui a cartonné en recueillant les 4.500 signatures requises en 24 heures, le ministre de l'Education n'a pas revu sa position. Après sept semaines d'école forcée à la maison, le retour au lycée des classes de terminale s'est tenu ce lundi 4 mai dans des conditions hors normes.
«L'école est importante et ce n'est pas une activité facultative», a rappelé Claude Meisch (DP) ce lundi matin auprès de nos confrères de la radio 100.7. «Il est important que ces élèves puissent terminer leur cursus scolaire.» En ce qui concerne les élèves vulnérables qui concernent environ 1 sur 10, il a précisé que «l'enseignement à distance devra être mis en place».
Le ministre de l'Education estime également que de nombreuses mesures ont été prises pour que le retour de quelque 6.000 élèves se passe dans les meilleures conditions comme par exemple la présence de nouvelles règles qui s'ajoutent aux gestes barrières.
Outre ces initiatives, des tests ont été mis en place la semaine dernière pour les enseignants et les élèves qui s'apprêtaient à retrouver le chemin des lycées. Une opération qui visait avant tout à rassurer mais qui n'a pas clos le débat pour autant.
La semaine s'annonce d'ailleurs chargée pour le ministre de l'Education. Ce mercredi, il doit rencontrer les députés pour évoquer la reprise progressive des activités dans les écoles mais aussi les structures d'accueil. Un échange sur le succès de la pétition 1550 est aussi à l'ordre du jour.
Après les élèves de terminale ce 4 mai, le calendrier mis en place par le gouvernement prévoit le retour en classe des 39.000 élèves du secondaire le 11 mai alors que les enfants inscrits au fondamental, aux crèches ou les structures d'accueil reprendront dans trois semaines, soit le lundi 25 mai.
Cette fois, les vacances sont bel et bien finies. Dans des conditions inédites imposées par la crise sanitaire, des dizaines de milliers d'élèves de l'enseignement public âgés de 4 à 18 ans ont retrouvé ce mardi matin le chemin de l'école.
Au-delà des questions scolaires, le ministère de l'Education estime qu'il va falloir porter une attention toute particulière au comportement des 42.700 jeunes qui s'apprêtent à faire leur rentrée en lycée public.
Au jour un du déconfinement scolaire, l'UNEL et le SEW/OGBL se rebellent contre un ministre de l'Education nationale sourd à leur demande et appellent les élèves de terminale à continuer à télé-étudier et les professeurs à être indulgents.
Le ministre de l'Education et de la Recherche a annoncé que les élèves, qui s'apprêtent à retrouver le chemin des lycées dans quelques jours, peuvent être testés sur base volontaire depuis ce mardi. Une opération qui vise avant tout à rassurer mais aussi à collecter un maximum d'informations sur le mode de propagation du covid-19.
Le retour annoncé des élèves de dernière année de secondaire le 4 mai prochain ne plaît pas à l'UNEL et au SEW/OGBL qui demandent vendredi la mise en place d'une dispense de présence physique jusqu'à la fin de l'année. Tout en demandant la possibilité de rencontrer les enseignants.
Une partie des élèves du secondaire reprend ce lundi le chemin de l’école dans un contexte toujours marqué par le virus. Une décision qui continue de faire débat, mais les établissements scolaires du pays se disent prêts.
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