Depuis 2015, la surveillance électronique est utilisée comme alternative à la prison. A ce jour, elle a même permis à 92 personnes d'y échapper.
Le bracelet électronique prend ses marques. Depuis 2015, celui-ci est utilisé pour éviter une incarcération ou faciliter la réinsertion d’un condamné détenu. Au Luxembourg, 15 personnes sont actuellement contraintes d'en porter un, a indiqué vendredi Sam Tanson (Déi Gréng) dans une réponse parlementaire. Selon la ministre de la Justice, le bilan de cette surveillance électronique serait «très positif».
Ces cinq dernières années, 209 personnes se sont ainsi vu imposer le port du bracelet électronique. Parmi elles, sept ont été mises sous surveillance électronique entre le 1er janvier et le 1er juin de cette année.
Dans 44% des cas, le bracelet électronique a permis aux condamnés de ne pas passer par la case prison. Les autres ont pu bénéficier de cet outil dans le cadre d'une libération conditionnelle (108) ou d'une remise de peine pour bon comportement (9).
Quant aux raisons, elles vont des affaires de drogues aux délits contre la propriété. En revanche, cet outil n'est aucunement utilisé pour les violences domestiques, bien que la ministre de la Justice ne ferme pas la porte à cette idée.
La ministre de l'Egalité entre les hommes et les femmes reconnaît qu'elle accueillerait «positivement»l'introduction de cette sanction pour les auteurs de violences domestiques. L'idée fait son chemin.
Pour les victimes, les agressions ne marquent généralement que le début d'un long combat. Si ces femmes sont accompagnées tout au long du processus par des professionnels de santé, reste que le suivi de ces patientes demeure compliqué.
Le port d'un bracelet électronique pour l'auteur, la poursuite de la hotline ou la réforme de la loi, la ministre de l'Egalité entre les femmes et les hommes planche sur différentes mesures pour tenter d'éradiquer ce phénomène en hausse, selon les chiffres 2019 dévoilés mercredi.
Adopté en Espagne et bientôt en France, le bracelet anti-rapprochement est évoqué par le gouvernement pour compléter l’éventail de mesures destinées à combattre le fléau des violences conjugales.
Les travaux devaient durer au plus tard jusqu'aux vacances collectives de Noël dernier. La réouverture de la Rangwee est désormais prévue environ trois mois plus tard.
Une catastrophe comme celle vécue en Turquie et en Syrie pourrait-elle se reproduire au Luxembourg? Eléments de réponse avec Adrien Oth, chercheur et directeur scientifique au Centre européen de géodynamique et de séismologie (ECGS).
Esma travaille pour Caritas Luxembourg et vit à Gaziantep, ville turque particulièrement touchée par le séisme. Elle raconte la situation sur place. De son côté, Caritas a lancé un appel aux dons.
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