Grande Région
2 min.14.05.2020Cet article est archivé
Un «zadiste» écroué à la prison d'Arlon
Un «zadiste» écroué à la prison d'Arlon
Après plus de six mois d'occupation illégale de la sablière de Schoppach, les «zadistes» n'ont toujours pas été expulsés
Photo: Chris Karaba
L'individu âgé d'une quarantaine d'années a avoué avoir bouté le feu à des combis de police dans la nuit du 30 avril au 1er mai. Les autorités évoquent de plus en plus la possibilité d'«une expulsion rapide» des occupants illégaux du site de la sablière de Schoppach.
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L'individu âgé d'une quarantaine d'années a avoué avoir bouté le feu à des combis de police dans la nuit du 30 avril au 1er mai. Les autorités évoquent de plus en plus la possibilité d'«une expulsion rapide» des occupants illégaux du site de la sablière de Schoppach.
Cela fait déjà près de sept mois qu'une cinquantaine d'activistes écologiques occupent illégalement le site d'une ancienne sablière à Schoppach, près d'Arlon. Si la crise du coronavirus les a quelque peu mis entre parenthèses, voilà que l'un d'entre eux vient d'être placé sous mandat d'arrêt.
Alors que dans la nuit du 30 avril au 1er mai dernier, un individu boutait le feu à des combis de la police à Arlon, l'enquête a rapidement avancé grâce aux images des caméras de surveillance. Nos confrères de La Meuse révèlent ce jeudi qu'un père de famille d'une quarantaine d'années connu pour être un membre actif de la ZAD a avoué les faits. Il a été placé sous mandat d’arrêt et écroué à la prison d'Arlon. Cette arrestation ne risque pas de redorer la réputation des «zadistes», qui s'étaient notamment «illustrés» en mars en prenant à partie des ouvriers travaillant le long de l'autoroute E411.
Pour rappel, les «zadistes» occupent illégalement un site de 31 hectares situé sur une ancienne sablière à Schoppach, l'estimant riche d'une certaine biodiversité à protéger. Propriétaire du lieu, Idélux a l'intention d'y implanter un zoning artisanal. Alors que l'occupation dure depuis plus de six mois, l'intercommunale a été autorisée début décembre par la Justice de Paix d'Arlon à entamer une procédure d'évacuation de la ZAD. Une ordonnance qui est jusqu'à présent restée lettre morte, même si le MR arlonais réclame avec force l’expulsion rapide de la ZAD. Vincent Magnus (cdH), le bourgmestre d'Arlon parle lui de «les expulser le plus rapidement possible lorsque les circonstances (nous) le permettront».
L'actualité les avait un peu rangés au fond du tiroir. Et pourtant, les occupants du site d'une ancienne sablière à Schoppach, près d'Arlon, refont parler d'eux. Lundi, plusieurs activistes s'en seraient pris à des ouvriers occupés à travailler sur les abords de l'autoroute E411.
Installé depuis fin octobre 2019 sur le site d'une ancienne sablière aux portes de la capitale de la province de Luxembourg, un collectif vit depuis 100 jours sur un lieu «répertorié de grand intérêt biologique protégé». Visite d'un espace voulu comme «hors du temps et de la société».
Autorisée par la Justice à entamer une procédure d’évacuation de la ZAD à la Sablière de Schoppach, l'intercommunale Idélux, propriétaire des lieux, décidera du calendrier à suivre vendredi, lors de son Conseil d'administration. L'occupation illégale du site dure depuis le 26 octobre.
Présents sur les lieux depuis le 26 octobre, les occupants du site de la Sablière à Schoppach, près d'Arlon annoncent jeudi dans un communiqué à l'agence Belga qu'ils resteront sur place «tant que le projet de zoning d’Idélux n’est pas abandonné.»
La cinquantaine d'activistes écologistes qui occupent depuis onze jours un site promis à un projet immobilier, à Schoppach près d'Arlon, ont été priés ce mardi via un courrier de le DNF d'évacuer les lieux «pour des raisons de sécurité», selon la presse belge.
Le chef-lieu de la province de Luxembourg connaît actuellement une explosion urbanistique. Ce boom en matière de logements, petits, moyens et gigantesques ne reste pas sans conséquences sur le plan écologique.
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Condamnés en première instance à des peines allant de 6 à 18 mois de prison avec sursis, sept agents de la BAC de Nancy comparaissent ce lundi en appel au tribunal de Metz. Les plaignants ne sont autres que leurs anciens collègues...
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De la cavalcade, nocturne, de Wasserbillig ce samedi, à celle, fleurie, de Florenville ce dimanche, les festivités de carnaval sont encore à l'honneur ce week-end. Mais il y aura aussi bien d'autres choses à faire en Grande Région.
Barrage à Bettembourg ce week-end et horaires encore et toujours perturbés en raison de la grève en France: c'est toujours la galère sur la ligne TER Metz-Luxembourg.
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