Au pied de la cathédrale de Metz, sur le marché, masque de rigueur dès le mardi 11 août.
Photo : Lex Kleren
Si la capitale française impose le port du masque dans certains de ses quartiers les plus fréquentés, la capitale de la Moselle imposera dès ce mardi la protection buccale à tous ceux qui se rendront sur son marché.
Si la capitale française impose le port du masque dans certains de ses quartiers les plus fréquentés, la capitale de la Moselle imposera dès ce mardi la protection buccale à tous ceux qui se rendront sur son marché.
(pj avec AFP) - Depuis une semaine, en Lorraine, les communes multiplient les arrêtés imposant le port du masque en extérieur. Tantôt sur tout l'espace public comme à Nancy, tantôt juste ponctuellement. C'est ce dernier choix qu'a suivi la Ville de Metz et son nouveau maire. Ainsi, François Grosdidier a-t-il annoncé qu'à compter du 11 août et jusqu'au 30 octobre, le masque était obligatoire pour les personnes fréquentant l'un ou l'autre des marchés messins.
Et il est bien précisé que la mesure sera applicable aussi bien pour les clients que pour les marchands disposant d'un stand sur ces marchés dits «de plein vent». L'autorité municipale se justifiant : «De par leur configuration, les allées des marchés de plein vent peuvent gêner le respect des règles de distanciation physique, au regard notamment de la circulation et de la concentration importantes de personnes amenées à se croiser sur ces marchés.»
A 330 km de la capitale de la Moselle, les Parisiens eux aussi doivent porter le masque depuis lundi matin. La mesure concerne plus d'une centaine de rues situées dans la quasi-totalité des arrondissements de la capitale. Il s'agit principalement des quais, des zones très touristiques comme la butte Montmartre, de rues commerçantes ou festives.
Prévue à Paris pour une durée d'un mois renouvelable, cette mesure doit permettre selon les autorités sanitaires d'enrayer un rebond du virus qui fait craindre une deuxième vague de l'épidémie. En rendant le port du masque obligatoire, Paris emboîte le pas à d'autres villes françaises à l'image de Nice, Marseille ou encore Lille, mais également d'autres pays comme la Belgique, la Roumanie, ou encore la quasi-totalité de l'Espagne qui depuis fin juillet ont musclé leurs mesures sanitaires.
De son côté, l'Italie s'inquiète de la situation chez ses voisins européens. «France, Espagne, Balkans: l'Italie est encerclée par les contagions», met en garde lundi le quotidien Il Corriere della Sera. L'Italie a enregistré dimanche deux morts, bilan le plus bas depuis le 21 février, date des premiers morts dans le pays. Si le chiffre des nouveaux cas est moins bon (+463 en 24 heures), la situation reste sous contrôle, selon les autorités.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'agence européenne en charge des maladies infectieuses ont toutes deux exhorté gouvernements et populations à tout faire pour éradiquer le nouveau coronavirus, au moment où le monde a franchi le seuil des 20 millions de personnes contaminées.
Réglementation plus stricte et prix en chute libre pénalisent de nombreuses usines du pays. Aussi, les fabricants chinois luttent-ils pour leur survie sur un marché devenu ultra concurrentiel et qui n'est plus synonyme de poule aux œufs d'or.
S'il permet de lutter contre la propagation du covid-19, le port d'une protection buccale pénalise une frange de la population, notamment les personnes sourdes et malentendantes. Car cette protection les empêche de lire sur les lèvres, les isolant un peu plus du monde extérieur.
Cellule de crise réactivée, nombre de lits occupés surveillé de près et glissement vers une nouvelle phase dans l'organisation hospitalière. Face à la hausse attendue de nouveaux patients covid-19, les principaux acteurs s'organisent et cherchent à se renforcer avec une «cinquantaine de personnes».
Emmanuel Macron envisageait de rendre l'obligation de la protection buccale obligatoire dans les lieux "clos" dès le 1er août, son nouveau Premier ministre vient d'avancer de deux semaines cette nouvelle mesure visant à freiner la reprise de covid-19.
Quatre jours après les premières injections à Thionville dans le cadre de la campagne de vaccination française au covid-19, le président de la région Grand Est a annoncé que 13.650 nouvelles doses seraient livrées au CHR Metz-Thionville avant fin janvier.
Au lendemain de l'annonce par Xavier Bettel d'un allègement des restrictions liées à la pandémie, le ministre-président de la Sarre a vivement commenté la position luxembourgeoise, trop laxiste selon Tobias Hans.
Le tribunal de Thionville a rendu son verdict mardi. Après plusieurs mois de déboires judiciaires, le groupe sidérurgique devra ainsi s'acquitter d'une sanction financière pour la pollution de la rivière Fensch dont le montant a néanmoins été revu à la baisse.
Si quelque 200.000 Français, Belges et Allemands traversent chaque jour la frontière pour venir travailler au Grand-Duché, près de 13.000 résidents luxembourgeois sont aussi considérés comme travailleurs frontaliers. Mais eux bougent nettement moins.
Les habitants de quinze départements verront leurs déplacements limités entre 18h et 6h dès samedi dans le cadre de la lutte contre l'épidémie de covid-19, a annoncé vendredi sur TF1 le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.
Quatre jours après les premières injections à Thionville dans le cadre de la campagne de vaccination française au covid-19, le président de la région Grand Est a annoncé que 13.650 nouvelles doses seraient livrées au CHR Metz-Thionville avant fin janvier.
Au lendemain de l'annonce par Xavier Bettel d'un allègement des restrictions liées à la pandémie, le ministre-président de la Sarre a vivement commenté la position luxembourgeoise, trop laxiste selon Tobias Hans.
Le tribunal de Thionville a rendu son verdict mardi. Après plusieurs mois de déboires judiciaires, le groupe sidérurgique devra ainsi s'acquitter d'une sanction financière pour la pollution de la rivière Fensch dont le montant a néanmoins été revu à la baisse.
Si quelque 200.000 Français, Belges et Allemands traversent chaque jour la frontière pour venir travailler au Grand-Duché, près de 13.000 résidents luxembourgeois sont aussi considérés comme travailleurs frontaliers. Mais eux bougent nettement moins.
Grande Régionpar Anne-Sophie de Nanteuil
2 min.05.01.2021
Les habitants de quinze départements verront leurs déplacements limités entre 18h et 6h dès samedi dans le cadre de la lutte contre l'épidémie de covid-19, a annoncé vendredi sur TF1 le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.