Toujours sous la menace d'une ordonnance d'expulsion, les zadistes s'en sont pris lundi à des ouvriers travaillant le long de l'autoroute E411
Photo: Chris Karaba
L'actualité les avait un peu rangés au fond du tiroir. Et pourtant, les occupants du site d'une ancienne sablière à Schoppach, près d'Arlon, refont parler d'eux. Lundi, plusieurs activistes s'en seraient pris à des ouvriers occupés à travailler sur les abords de l'autoroute E411.
L'actualité les avait un peu rangés au fond du tiroir. Et pourtant, les occupants du site d'une ancienne sablière à Schoppach, près d'Arlon, refont parler d'eux. Lundi, plusieurs activistes s'en seraient pris à des ouvriers occupés à travailler sur les abords de l'autoroute E411.
S'ils occupent illégalement le site d'une ancienne sablière dans la périphérie d'Arlon depuis le 26 octobre dernier, la cinquantaine d'activistes écologiques n'avaient plus fait parler d'eux depuis plusieurs semaines. Lundi matin, une poignée de ces «zadistes» ont intimidé des ouvriers occupés sur un chantier le long de l'autoroute E411, située en contrebas de la zone occupée. Selon nos confrères de La Meuse, ils se sont mis en travers du chemin, proférant menaces et invectives, et jetant divers objets ainsi que des excréments en direction des ouvriers.
Occupés à des travaux d'abattage d'arbres dangereux, les ouvriers ont alors cessé leur activité et le chantier a été momentanément interrompu. Avant de reprendre plus tard dans la matinée... sous escorte policière. Choquée par le comportement de ces individus, l'entreprise, qui souhaite conserver l'anonymat a déposé une plainte auprès de la police dès lundi.
Pour rappel, les «zadistes» occupent illégalement ce site de 31 hectares situé sur une ancienne sablière à Schoppach, l'estimant riche d'une certaine biodiversité à protéger. Propriétaire du lieu, Idélux a l'intention d'y implanter un zoning artisanal. Alors que l'occupation dure depuis plus de six mois, l'intercommunale a été autorisée début décembre par la Justice de Paix d'Arlon à entamer une procédure d'évacuation de la ZAD. Une ordonnance qui est jusqu'à présent restée lettre morte.
L'individu âgé d'une quarantaine d'années a avoué avoir bouté le feu à des combis de police dans la nuit du 30 avril au 1er mai. Les autorités évoquent de plus en plus la possibilité d'«une expulsion rapide» des occupants illégaux du site de la sablière de Schoppach.
Installé depuis fin octobre 2019 sur le site d'une ancienne sablière aux portes de la capitale de la province de Luxembourg, un collectif vit depuis 100 jours sur un lieu «répertorié de grand intérêt biologique protégé». Visite d'un espace voulu comme «hors du temps et de la société».
Autorisée par la Justice à entamer une procédure d’évacuation de la ZAD à la Sablière de Schoppach, l'intercommunale Idélux, propriétaire des lieux, décidera du calendrier à suivre vendredi, lors de son Conseil d'administration. L'occupation illégale du site dure depuis le 26 octobre.
Présents sur les lieux depuis le 26 octobre, les occupants du site de la Sablière à Schoppach, près d'Arlon annoncent jeudi dans un communiqué à l'agence Belga qu'ils resteront sur place «tant que le projet de zoning d’Idélux n’est pas abandonné.»
La cinquantaine d'activistes écologistes qui occupent depuis onze jours un site promis à un projet immobilier, à Schoppach près d'Arlon, ont été priés ce mardi via un courrier de le DNF d'évacuer les lieux «pour des raisons de sécurité», selon la presse belge.
Le chef-lieu de la province de Luxembourg connaît actuellement une explosion urbanistique. Ce boom en matière de logements, petits, moyens et gigantesques ne reste pas sans conséquences sur le plan écologique.
Il y en a toujours un de moins à circuler le soir que le matin. Les trains de la ligne TER Nancy-Metz-Luxembourg sont toujours peu nombreux sur les rails, alors que les cheminots entament leur troisième semaine consécutive de grève.
Condamnés en première instance à des peines allant de 6 à 18 mois de prison avec sursis, sept agents de la BAC de Nancy comparaissent ce lundi en appel au tribunal de Metz. Les plaignants ne sont autres que leurs anciens collègues...
Si la situation n'évolue pas favorablement d'ici la fin du mois de mars, des mesures de restriction de l'usage de l'eau pourraient être prises par les services de l'Etat.
De la cavalcade, nocturne, de Wasserbillig ce samedi, à celle, fleurie, de Florenville ce dimanche, les festivités de carnaval sont encore à l'honneur ce week-end. Mais il y aura aussi bien d'autres choses à faire en Grande Région.
Barrage à Bettembourg ce week-end et horaires encore et toujours perturbés en raison de la grève en France: c'est toujours la galère sur la ligne TER Metz-Luxembourg.
Il y en a toujours un de moins à circuler le soir que le matin. Les trains de la ligne TER Nancy-Metz-Luxembourg sont toujours peu nombreux sur les rails, alors que les cheminots entament leur troisième semaine consécutive de grève.
Condamnés en première instance à des peines allant de 6 à 18 mois de prison avec sursis, sept agents de la BAC de Nancy comparaissent ce lundi en appel au tribunal de Metz. Les plaignants ne sont autres que leurs anciens collègues...
Si la situation n'évolue pas favorablement d'ici la fin du mois de mars, des mesures de restriction de l'usage de l'eau pourraient être prises par les services de l'Etat.
Grande Région
par
Pascal MITTELBERGER
3 min.19.03.2023
De la cavalcade, nocturne, de Wasserbillig ce samedi, à celle, fleurie, de Florenville ce dimanche, les festivités de carnaval sont encore à l'honneur ce week-end. Mais il y aura aussi bien d'autres choses à faire en Grande Région.
Grande Région
5
par
Pascal MITTELBERGER
4 min.18.03.2023
Barrage à Bettembourg ce week-end et horaires encore et toujours perturbés en raison de la grève en France: c'est toujours la galère sur la ligne TER Metz-Luxembourg.