A compter du 1er janvier 2021, Michel Reckinger (à g.) succédera officiellement à Nicolas Buck comme président de l'UEL.
Photo: UEL
Au 1er janvier 2021, l'actuel président de la Fédération des artisans deviendra le nouveau patron des patrons, indique lundi l'Union des entreprises luxembourgeoises. Il succédera à Nicolas Buck, qui ne sollicite pas de nouveau mandat.
Au 1er janvier 2021, l'actuel président de la Fédération des artisans deviendra le nouveau patron des patrons, indique lundi l'Union des entreprises luxembourgeoises. Il succédera à Nicolas Buck, qui ne sollicite pas de nouveau mandat.
(Jmh) -Nouveau changement à la tête du patronat luxembourgeois. 18 mois après l'arrivée de Nicolas Buck comme président de l'UEL, l'instance faîtière des organisations patronales annonce son remplacement par Michel Reckinger. Une décision qui fait suite à «la volonté de Nicolas Buck de ne pas solliciter un renouvellement de son mandat», selon les termes du communiqué publié lundi. Texte qui souligne l'engagement «plein» et «l'énergie» déployée par celui qui était en poste depuis début 2019.
Nommé «à l'unanimité» par le conseil d'administration, Michel Reckinger prendra ses nouvelles fonctions le 1er janvier prochain. L'actuel président de la Fédération des artisans et «patron d'une entreprise familiale créée en 1911 et employant plus de 250 salariés», chapeautera alors les neuf organisations patronales du pays. A savoir : l'ABBL, l'ACA, la Chambre de commerce, la Chambre des Métiers, la CLC, la Fédération des artisans, la Fedil et l'Horesca. Des instances qui «assurent 80% des emplois et 85% du PIB», selon le communiqué officiel.
«Je suis très fier de ce qui a été accompli par l’UEL depuis que j’ai eu l’honneur de présider son conseil d’administration», indique Nicolas Buck, cité dans le texte envoyé lundi. Ce dernier assure être «reconnaissant pour la confiance qui m’a été témoignée. Mais je suis avant tout un entrepreneur et un chef d’entreprise et je souhaite à présent avoir davantage de temps à y consacrer.»
Un franc-parler qui le poussera non seulement à assurer que «le système fiscal est fait pour les électeurs», mais aussi à aller au conflit ouvert en refusant de négocier avec les syndicats lors d'une séance au sein du Comité permanent du Travail et de l'Emploi. Un coup de poing sur la table qui aura eu pour conséquence d'unifier OGBL, LCGB et CGFP. Du moins pour un temps.
Nicolas Buck, le patron des patrons, qui va passer le relais à la fin de l'année, se félicite du retour du dialogue social et de la concorde entre gouvernement, patronat et syndicats lors de la crise sanitaire.
Nicolas Buck, le président de l'Union des entreprises luxembourgeoises (UEL), livre ses sentiments avant la tripartite de vendredi. Le «patron des patrons» insiste sur «le monde du travail de demain», des compétences à acquérir et dénonce à nouveau «les lourdeurs administratives».
Le Premier ministre a des nouvelles décevantes concernant le projet de centre de données Google à Bissen. Mais le sujet n'est pas encore totalement clos.
Perçu comme le maillon faible du secteur bancaire en Suisse, l'établissement a vu le cours de son action perdre jusqu'à 30% pour toucher un nouveau plancher historique à 1,55 franc suisse.
L'association des banques luxembourgeoises et la CSSF se montrent plutôt rassurantes. Elles parlent d'un «faible risque de contagion» pour le secteur bancaire luxembourgeois, alors que deux banques américaines ont fait faillite.
Une vague de retraits bancaires a provoqué la défaillance de trois banques américaines la semaine dernière. Y a-t-il un risque de contagion en Europe comme en 2008?
Le volume des crédits immobiliers a nettement diminué en comparaison mensuelle. En ce qui concerne les crédits à la consommation, la BCL constate une augmentation.
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