Entre 60 et 75 postes sont en jeu dans le cadre de la restructuration mise en place au sein de SES.
Source: SES
Les délégations du personnel des différentes entités de la Société européenne des satellites (SES) ont trouvé un accord avec la direction de l'entreprise pour offrir au personnel visé par la restructuration un projet d'accompagnement. La durée de validité de ce programme est de 2 ans.
Les délégations du personnel des différentes entités de la Société européenne des satellites (SES) ont trouvé un accord avec la direction de l'entreprise pour offrir au personnel visé par la restructuration un projet d'accompagnement. La durée de validité de ce programme est de 2 ans.
(ER) - Après le retrait du projet de plan social le 9 juillet dernier, les négociations se sont poursuivies entre les partenaires sociaux et les responsables de SES. Elle ont finalement abouti le 31 juillet dernier à un accord sur la mise en place d'un plan de maintien dans l'emploi (PME). Une option qui était la priorité n°1 de l'OGBL mais aussi du LCGB bien «avant toute décision de plan social».
Si les premiers échanges entre syndicats et direction de l'opérateur de satellites ont été quelque peu difficiles, cet accord est avant tout un soulagement pour l'ensemble du personnel.
«Sous réserve de l'approbation par les instances officielles, des mesures sociales telles que la préretraite-ajustement, un budget formation en vue d'un potentiel réemploi externe ainsi qu'un programme de redéploiement interne vers des postes vacants (actuels et futurs) au sein des différentes entités de SES seront mises en place», précise le communiqué des syndicats.
La mise en oeuvre du PME et l'application des mesures négociées sera assurée par un comité de suivi, composé par des membres des délégations signataires et des membres de la direction, qui se réunira de façon régulière.
A noter aussi que la direction de SES s'est engagée à «entreprendre les démarches administratives nécessaires afin que les salariés concernés puissent bénéficier de mesures de soutien étatiques comme l'aide temporaire au réemploi et l'aide à l'embauche».
Pour rappel, SES avait annoncé à la fin du mois de mai une restructuration avec notamment la fermeture de certains de ses bureaux européens. Une opération qui risquait de toucher entre 10 et 15% de son personnel. SES emploie à ce jour environ 2.100 personnes à travers le monde, dont 600 au Luxembourg.
Alors que les discussions s'étaient envenimées lors de la négociation du plan social au sein du fleuron de l'industrie spatiale luxembourgeoise, un accord est intervenu jeudi pour mettre en place un plan de maintien de l'emploi. Seul «un nombre limité» de personnes seront donc licenciées.
Entamés le 25 juin dernier, les échanges entre syndicats et direction de l'opérateur de satellites sont qualifiés, jeudi, de «mouvementés» par l'OGBL et le LCGB. En cause, le placement de certains délégués du personnel sur la liste des personnes impactées par le plan social en cours de négociation.
Dans son accord de coalition signé en décembre 2018, le gouvernement mettait en évidence l'importance des formations et les reconversions de compétences. Mais dans ce dossier, le syndicat estime que le Premier ministre «oublie ses engagements en faveur du maintien de l'emploi».
L'opérateur de satellites fermera des sites en Europe et le personnel luxembourgeois n'est pas épargné par ce plan social. L'entreprise envisage de se diviser en deux sociétés dédiées à l'activité réseaux pour l'une, à la partie vidéo pour l'autre.
Selon l'opérateur de satellites luxembourgeois, entre 10 et 15% de la main-d'œuvre est concernée. La fermeture de certains de ses bureaux européens est envisagée.
Les syndicats demandent une réunion d'urgence avec la direction du constructeur d'installations luxembourgeois. André Schneider succède à Georges Rassel.
Les CFL souhaitent combiner la route, le rail et la navigation intérieure pour le transport de marchandises. Une nouvelle participation stratégique devrait y contribuer.
Alors que le nombre de faillites prononcées en 2022 est en baisse par rapport à 2021, les entreprises ont été bien nombreuses à mettre la clé sous la porte lors du dernier trimestre de l'année.
Le groupe luxembourgeois Socom s'associe à l'entreprise belge Evocells pour fabriquer des panneaux solaires à Hollerich, sur l’ancien site du cigarettier Heintz Van Landewyck. Début de la production: fin 2023.
La Banque centrale du Luxembourg constate en parallèle une baisse du volume des crédits nouvellement accordés. Actuellement, les taux variables sont plus avantageux que les taux fixes.
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