L'aide la plus sollicitée pour faire face à la crise, jusqu'à présent au Luxembourg, aura été la garantie étatique de prêt bancaire pour quelque 174 millions d'euros.
Photo : AFP
Jusqu'au 31 décembre, les pays de l'Union européenne sont autorisés à soutenir avec des fonds publics les entreprises souffrant des conséquences de la pandémie de coronavirus.
Jusqu'au 31 décembre, les pays de l'Union européenne sont autorisés à soutenir avec des fonds publics les entreprises souffrant des conséquences de la pandémie de coronavirus.
(pj avec AFP) - La limite était posée jusqu'au 30 juin prochain, mais finalement le dispositif exceptionnel (baptisé State aid Temporary Framework) va gagner six mois supplémentaires. Ainsi en a décidé, jeudi, la Commission européenne. Et les sociétés dont l'activité souffre encore de la crise covid peuvent respirer : les Etats membres, Luxembourg inclus donc, pourront bien continuer à les soutenir financièrement selon des mesures plus souples, a expliqué Margrethe Vestager, commissaire européenne chargée de la Concurrence.
Parmi les changements à venir, il est notamment question de transformer à terme certains prêts garantis par l'Etat en «subventions directes». En mars 2020, au moment de la première vague de la pandémie, la Commission européenne avait annoncé des mesures facilitant le soutien public à la recherche et à la production pour lutter contre les conséquences économiques du virus.
Le dispositif avait ensuite été étendu pour permettre des aides d'Etat sous forme de prêt ou de recapitalisation aux groupes en difficulté. En temps normal, ces aides ne sont accordées qu'au compte-gouttes, afin de garantir une concurrence équitable et ne pas subventionner des ''canards boiteux''.
Au Luxembourg, le ministre des Finances a dernièrement évoqué l'impact de la crise sur les finances du pays. Avec notamment une hausse des dépenses publiques de l'ordre de 14,5%, alors que les recettes ont chuté en 2020 de -4,9%. Selon les dernières données officielles transmises, le montant des aides (hors chômage partiel) accordées aux entreprises depuis mars dernier dépasse déjà les 500 millions d'euros.
Quatre mois après l'annonce d'une restructuration au sein d'ArcelorMittal, les partenaires sociaux ont signé lundi un accord qui aboutit à l'absence de licenciements économiques, de maintien de tous les sites de production et l'obligation pour le géant de l'acier d'investir.
Les mouvements de protestation de restaurateurs se multiplient sur Internet, dans les rues et sur les devantures. Il restent cependant unis sur un but commun : rouvrir les établissements.
Si le secteur a des raisons légitimes de se plaindre, le gouvernement refuse de laisser dire qu'il n'agit pas. Pour preuve, notamment, les 65 millions d'euros d'aides déjà versés aux acteurs de l'Horeca.
Les ministres de la Mobilité belge et luxembourgeois viennent de cosigner une demande pour que la Commission européenne mobilise des fonds pour la réfection de cette voie ferrée.
Surtout de la prévisibilité dans les décisions du gouvernement. Michel Reckinger, président de la Fédération des artisans (et nouveau «patron des patrons» à la tête de l'UEL) et Tom Oberweis, président de la Chambre des métiers relaient les espoirs de leur secteur.
Le courrier adressé par l'OGBL, la CGFP et le LCGB au Premier ministre pour demander un tour de table entre partenaires sociaux et gouvernement n'a toujours pas reçu d'écho.
Le gouvernement souhaite étendre à plus de bénéficiaires l'aide directe non remboursable accordée aux indépendants en difficulté. A commencer par l'inclusion des professionnels du médical et paramédical.
L'association des banques luxembourgeoises et la CSSF se montrent plutôt rassurantes. Elles parlent d'un «faible risque de contagion» pour le secteur bancaire luxembourgeois, alors que deux banques américaines ont fait faillite.
Une vague de retraits bancaires a provoqué la défaillance de trois banques américaines la semaine dernière. Y a-t-il un risque de contagion en Europe comme en 2008?
Le volume des crédits immobiliers a nettement diminué en comparaison mensuelle. En ce qui concerne les crédits à la consommation, la BCL constate une augmentation.
La compagnie aérienne luxembourgeoise a commandé deux Boeing 737-8 (anciennement 737 Max). Jusqu'à ce que ceux-ci rejoignent la flotte en 2026, Luxair louera deux appareils du même type. Ils voleront dès cet été.
Le taux d'inflation annuel de la zone euro a reculé en février pour le quatrième mois consécutif, à 8,5% sur un an, après 8,6% en janvier, selon Eurostat, mais la baisse est moins forte que prévu en raison des tarifs élevés de l'alimentation.
L'association des banques luxembourgeoises et la CSSF se montrent plutôt rassurantes. Elles parlent d'un «faible risque de contagion» pour le secteur bancaire luxembourgeois, alors que deux banques américaines ont fait faillite.
Une vague de retraits bancaires a provoqué la défaillance de trois banques américaines la semaine dernière. Y a-t-il un risque de contagion en Europe comme en 2008?
Le volume des crédits immobiliers a nettement diminué en comparaison mensuelle. En ce qui concerne les crédits à la consommation, la BCL constate une augmentation.
La compagnie aérienne luxembourgeoise a commandé deux Boeing 737-8 (anciennement 737 Max). Jusqu'à ce que ceux-ci rejoignent la flotte en 2026, Luxair louera deux appareils du même type. Ils voleront dès cet été.
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