En moyenne, en décembre, les automobilistes ont payé 1,6% de plus pour un litre d'essence, et jusqu'à 4,3% de plus pour un litre de diesel.
Photo: Lex Kleren
En décembre, les prix ont légèrement augmenté. Le Statec révise ainsi son taux d'inflation de 0,3% par rapport au mois précédent. Une tendance qui s'explique notamment par une hausse des prix des produits pétroliers et des voyages.
En décembre, les prix ont légèrement augmenté. Le Statec révise ainsi son taux d'inflation de 0,3% par rapport au mois précédent. Une tendance qui s'explique notamment par une hausse des prix des produits pétroliers et des voyages.
(ASdN) - Après une baisse en novembre, l'inflation repart à la hausse. En décembre, les ménages ont ainsi vu leur facture globale augmenter de 0,3%. Mais à en croire le Statec, l'impact serait néanmoins bien plus important pour les automobilistes.
Pour le dernier mois de l'année, les adeptes de la voiture ont en effet dû mettre davantage la main à la poche. En moyenne, ils ont en effet payé 1,6% de plus pour un litre d'essence, et jusqu'à 4,3% de plus pour un litre de diesel. Des chiffres toutefois à relativiser puisqu'en comparaison à la même période un an auparavant, les prix des produits dérivés de l'or noir ont chuté de 14,8%.
Avec les vacances scolaires, les prix des billets d'avion se sont par ailleurs envolés. Par rapport à novembre, leur prix a augmenté de 22,4%. Pour les voyages à forfait, le décollage est plus limité avec une augmentation de 6,1%.
A la caisse du supermarché, le constat est en revanche plus mitigé. En l'espace d'un mois, les prix des produits alimentaires ont baissé de 0,8%, notamment pour ce qui est des fruits et légumes frais (-4,7 et -5,7%), de la confiture et le miel (-4,4%) ou encore des boissons alcoolisées (0,6%). En revanche, la volaille a augmenté de 1,6%. Les petits-déjeuners pèsent également plus lourd dans la balance avec une hausse de 4% des céréales.
Compte tenu de l'évolution des prix, le Statec révise le taux d'inflation pour l'année 2020 à la hausse. En moyenne, celui-ci s'élève donc désormais à 0,6% sur un an. Si cette augmentation n'entraîne pas d'index, ce dernier s'en rapproche néanmoins. Ce qui n'a toutefois pas empêché, en début d'année, l'augmentation du revenu social minimum, de l'allocation de vie chère (+10%) et du REVIS.
Si les ménages broyaient du noir en novembre, l'indicateur de confiance mesuré par la Banque centrale du Luxembourg remonte pour le dernier mois de l'année.
Comme l'ensemble des commerces, les concessions automobiles pourront redémarrer leur activité dès le 11 janvier. De quoi rassurer les organisateurs de l'Autofestival qui a failli caler en ce début 2021.
Initialement fixée du 2 au 30 janvier 2021, la période légale de ventes à prix réduit commencera finalement deux semaines plus tard au Grand-Duché, a confirmé le ministère des Classes moyennes.
Selon les calculs du Statec, l'indice des prix à la consommation a diminué de 0,1% en juin par rapport au mois précédent. Une tendance que l'institut national explique par la baisse des prix des voyages et des produits pétroliers.
Les prix des autres biens et services progressent de 0,2% pour ce mois de juillet 2019. Selon les prévisions du Statec, la tranche indiciaire annoncée pour cet hiver pourrait tomber entre octobre et décembre.
L'indice des prix à la consommation nationale s'est redressé de 1,5% au mois de février, annonce le Statec. Un phénomène qui s'explique par l'augmentation des prix des carburants, les soldes d'hiver et la Saint-Valentin qui a dopé certaines ventes.
Bien que la crise du covid frappe le Luxembourg depuis la mi-mars 2020, son impact apparaît comme inexistant sur le coût des maisons et appartements, selon les données publiées par Eurostat. La croissance dépasse encore les 10% annuels.
A la veille de l'Autofestival, les concessionnaires ne peuvent que constater le boom des ventes de modèles hybrides et électriques. Un attrait porté par les aides (généreuses) "Clever fueren".
En annonçant le retour du modèle phare des années 1980 et de la Lada Niva, la marque au losange s'inscrit dans une lignée de tentatives «néo-rétro», entre le succès de la Fiat 500 et le flop de l'e-Mehari.
Le gouvernement souhaite étendre à plus de bénéficiaires l'aide directe non remboursable accordée aux indépendants en difficulté. A commencer par l'inclusion des professionnels du médical et paramédical.
Mises sur la place publique dans un rapport spécial de la Cour des comptes, les pratiques du ministère de l'Economie sont amenées à changer avec «une meilleure harmonisation» et «un approfondissement des analyses», assure mercredi le ministère de l'Economie. Et donc tourner la page de l'ère Schneider.
Bien que la crise du covid frappe le Luxembourg depuis la mi-mars 2020, son impact apparaît comme inexistant sur le coût des maisons et appartements, selon les données publiées par Eurostat. La croissance dépasse encore les 10% annuels.
A la veille de l'Autofestival, les concessionnaires ne peuvent que constater le boom des ventes de modèles hybrides et électriques. Un attrait porté par les aides (généreuses) "Clever fueren".
En annonçant le retour du modèle phare des années 1980 et de la Lada Niva, la marque au losange s'inscrit dans une lignée de tentatives «néo-rétro», entre le succès de la Fiat 500 et le flop de l'e-Mehari.
Le gouvernement souhaite étendre à plus de bénéficiaires l'aide directe non remboursable accordée aux indépendants en difficulté. A commencer par l'inclusion des professionnels du médical et paramédical.
Mises sur la place publique dans un rapport spécial de la Cour des comptes, les pratiques du ministère de l'Economie sont amenées à changer avec «une meilleure harmonisation» et «un approfondissement des analyses», assure mercredi le ministère de l'Economie. Et donc tourner la page de l'ère Schneider.