Le ministre du Travail luxembourgeois pourrait travailler sur l'introduction d'un "droit au télétravail", si les partenaires sociaux lui demandent.
Photo : Shutterstock
A défaut de recevoir la Première ministre belge mercredi (visite annulée), le Luxembourg a reçu confirmation de Bruxelles que le gouvernement belge renouvelait l'accord sur le home-working jusqu'au 31 décembre. A la France de suivre maintenant, l'Allemagne poursuivant elle aussi le dispositif.
A défaut de recevoir la Première ministre belge mercredi (visite annulée), le Luxembourg a reçu confirmation de Bruxelles que le gouvernement belge renouvelait l'accord sur le home-working jusqu'au 31 décembre. A la France de suivre maintenant, l'Allemagne poursuivant elle aussi le dispositif.
Vendredi encore, Dan Kersch (LSAP) se montrait prudent. Le ministre du Travail indiquant que les feux étaient «au vert» pour la prolongation par les Etats voisins des tolérances fiscales accordées aux frontaliers sur le télétravail. La Belgique aura finalement officialisé la chose en premier. Ce lundi, le ministère des Finances belge a mis fin au suspense.
Ainsi Pierre Gramegna (DP) a reçu confirmation que l'accord bilatéral décidé le 19 mai et prolongé jusque fin août, est maintenant reconduit jusqu'à la fin de l'année. Et le ministre luxembourgeois des Finances de rappeler que le dispositif «prévoit que l’activité exercée à domicile en raison des mesures prises pour combattre la pandémie de COVID-19, est considérée comme exercée au Luxembourg, et que la rémunération relative reste donc imposable au Luxembourg».
Pour Pierre Gramegna, cette avancée n'a rien de mineure. Et il a tenu à le rappeler ce lundi : «Au cours des derniers mois, cet accord a permis de garantir la flexibilité nécessaire aux employeurs luxembourgeois et les quelque 50.000 frontaliers belges. Je me réjouis donc de pouvoir annoncer que les négociations avec nos partenaires belges ont porté leurs fruits.»
Si la France reste aux abonnés absents, à une semaine de l'accord concernant ses propres concitoyens frontaliers travaillant à distance, le ministère des Finances du Grand-Duché continue les négociations. Pas forcément évidentes quand on se souvient de la prise de position abrupte sur le sujet de Bruno Le Maire cet été. A un député qui l'interrogeait sur l'allongement dans le temps du dispositif le ministre de l'Economie avait exprimé un refus clair et net. A voir donc.
Côté allemand, le dossier est nettement moins préoccupant. En effet, «l’application de l’accord amiable avec l’Allemagne se prolonge automatiquement d’un mois si aucun des États contractants ne renonce à l’accord au moins une semaine avant la fin de l’échéance», indique le ministre des Finances. L’accord est donc valable jusqu’à... nouvel ordre.
Comme pour les Belges et les Français, le travail à domicile sera possible jusque fin juin pour les frontaliers allemands. L'accord sera résilié ensuite.
10 jours de plus sans changement de régime d'imposition: voilà le délai supplémentaire sur lequel les gouvernements luxembourgeois et belge viennent de s'entendre. Une bonne nouvelle pour les quelque 49.000 frontaliers du royaume.
Alors que le taux d’infection au covid-19 est élevé dans sa région limitrophe avec le Luxembourg, la Belgique demande à ses habitants de restreindre leurs voyages au Grand-Duché.
Comme leurs collègues belges et allemands, les salariés français embauchés au Luxembourg pourront continuer à faire du home-working jusqu'au 31 décembre. L'accord entre la France et le Luxembourg a été prolongé de quatre mois.
Ce sont les trois grands sujets abordés par le ministre de la Mobilité, François Bausch, en toute décontraction. Il est d'avis qu'il faut «penser et agir de manière plus flexible. Le coronavirus a montré que c'est possible».
Entre départs en congés et télétravail, les espaces de travail des grandes sociétés restent encore loin de leur occupation habituelle. Et rien ne dit que chaque place retrouvera, demain, celui ou celle qui venait y assurer sa mission.
Une vague de retraits bancaires a provoqué la défaillance de trois banques américaines la semaine dernière. Y a-t-il un risque de contagion en Europe comme en 2008?
Le volume des crédits immobiliers a nettement diminué en comparaison mensuelle. En ce qui concerne les crédits à la consommation, la BCL constate une augmentation.
La compagnie aérienne luxembourgeoise a commandé deux Boeing 737-8 (anciennement 737 Max). Jusqu'à ce que ceux-ci rejoignent la flotte en 2026, Luxair louera deux appareils du même type. Ils voleront dès cet été.
Le taux d'inflation annuel de la zone euro a reculé en février pour le quatrième mois consécutif, à 8,5% sur un an, après 8,6% en janvier, selon Eurostat, mais la baisse est moins forte que prévu en raison des tarifs élevés de l'alimentation.
Le groupe devra verser plus de 450.000 euros aux plaignants. A Thionville, quatre autres syndicalistes ont fait appel d'une décision des prud'hommes, défavorable en première instance.
Une vague de retraits bancaires a provoqué la défaillance de trois banques américaines la semaine dernière. Y a-t-il un risque de contagion en Europe comme en 2008?
Le volume des crédits immobiliers a nettement diminué en comparaison mensuelle. En ce qui concerne les crédits à la consommation, la BCL constate une augmentation.
La compagnie aérienne luxembourgeoise a commandé deux Boeing 737-8 (anciennement 737 Max). Jusqu'à ce que ceux-ci rejoignent la flotte en 2026, Luxair louera deux appareils du même type. Ils voleront dès cet été.
Le taux d'inflation annuel de la zone euro a reculé en février pour le quatrième mois consécutif, à 8,5% sur un an, après 8,6% en janvier, selon Eurostat, mais la baisse est moins forte que prévu en raison des tarifs élevés de l'alimentation.
Le groupe devra verser plus de 450.000 euros aux plaignants. A Thionville, quatre autres syndicalistes ont fait appel d'une décision des prud'hommes, défavorable en première instance.