A peine récompensée, la start-up luxembourgeoise se retrouve sous le feu des médias.
Photo : Luxfactory
La jeune start-up luxembourgeoise a reçu le 2ème prix au concours "Pitch MY Global Village" au plus grand salon mondial d'innovation électronique. Pas mal face à 125 autres firmes en compétition.
La jeune start-up luxembourgeoise a reçu le 2ème prix au concours "Pitch MY Global Village" au plus grand salon mondial d'innovation électronique. Pas mal face à 125 autres firmes en compétition.
Le projet Ibisa, développé au Grand-Duché par BitValley, fonctionne grâce à un téléphone portable. C'est l'outil qui va permettre à un cultivateur isolé de contribuer selon ses moyens à un fonds. En cas de catastrophe sur ses récoltes, il sera alors remboursé en fonction de sa participation, selon des critères déterminés via des observations satellitaires. Le paiement étant directement fait à l'agriculteur, via un système de blockchain.
Ibisa avait déjà été récompensée au Grand-Duché, en 2018, par un FintechAwards. Le prix spécial du financement inclusif avait alors été remis à sa fondatrice, María Mateo Ibora.
Au 1er janvier 2020, Philippe Linster prendra la direction de la Host. Il compte rendre l'écosystème start-up plus visible auprès du grand public, en espérant ainsi susciter des vocations.
La vie de patron ne fait pas rêver les résidents luxembourgeois, à en croire les dernières données du Statec. Malgré l'absence de seconde chance en cas de faillite, les visages des plus de 36.000 sociétés du pays se féminisent et se diversifient.
L'agence nationale de promotion de l'innovation fête ce jeudi son 35e anniversaire. Au fil des années, l'entité émanant du ministère de l'Economie s'est forgé une place de choix dans le Nation Branding.
Alors que le Consumer Electronic Show commence à Las Vegas pour 16 start-up luxembourgeoises, les dirigeants de Luxfactory invitent à la création d'un avantage fiscal et d'un fonds d'investissement de 150 millions d'euros.
En annonçant le retour du modèle phare des années 1980 et de la Lada Niva, la marque au losange s'inscrit dans une lignée de tentatives «néo-rétro», entre le succès de la Fiat 500 et le flop de l'e-Mehari.
Le gouvernement souhaite étendre à plus de bénéficiaires l'aide directe non remboursable accordée aux indépendants en difficulté. A commencer par l'inclusion des professionnels du médical et paramédical.
Mises sur la place publique dans un rapport spécial de la Cour des comptes, les pratiques du ministère de l'Economie sont amenées à changer avec «une meilleure harmonisation» et «un approfondissement des analyses», assure mercredi le ministère de l'Economie. Et donc tourner la page de l'ère Schneider.
Les négociations entre les fonctionnaires du boulevard Royal et les industriels du groupe grec se sont déroulées de façon informelle, puisque les documents associés ne sont pas conservés, constate la Cour des comptes dans son rapport spécial, publié lundi. Un document qui égratigne certaines pratiques.
Si certaines branches d'activité ont été contraintes de restreindre leur activité et d'avoir recours au chômage partiel, voire aux licenciements, d'autres en revanche peinent à trouver du personnel. Tour d'horizon.
En annonçant le retour du modèle phare des années 1980 et de la Lada Niva, la marque au losange s'inscrit dans une lignée de tentatives «néo-rétro», entre le succès de la Fiat 500 et le flop de l'e-Mehari.
Le gouvernement souhaite étendre à plus de bénéficiaires l'aide directe non remboursable accordée aux indépendants en difficulté. A commencer par l'inclusion des professionnels du médical et paramédical.
Mises sur la place publique dans un rapport spécial de la Cour des comptes, les pratiques du ministère de l'Economie sont amenées à changer avec «une meilleure harmonisation» et «un approfondissement des analyses», assure mercredi le ministère de l'Economie. Et donc tourner la page de l'ère Schneider.
Les négociations entre les fonctionnaires du boulevard Royal et les industriels du groupe grec se sont déroulées de façon informelle, puisque les documents associés ne sont pas conservés, constate la Cour des comptes dans son rapport spécial, publié lundi. Un document qui égratigne certaines pratiques.
Si certaines branches d'activité ont été contraintes de restreindre leur activité et d'avoir recours au chômage partiel, voire aux licenciements, d'autres en revanche peinent à trouver du personnel. Tour d'horizon.