L'entreprise Delphi avait annoncé un plan de licenciement de 40 personnes. Elle est parvenue à se limiter à 15 licenciements.
L'entreprise Delphi avait annoncé un plan de licenciement de 40 personnes. Elle est parvenue à se limiter à 15 licenciements.
Cette entreprise de Bascharage avait annoncé fin septembre qu'une quarantaine d'emplois étaient menacés.
Selon l'OGBL, l'entreprise a réussi à trouver un terrain d'entente avec la délégation du personnel pour réduire le nombre de suppressions d'emplois.
Le syndicat a indiqué avoir pu négocier, avec la délégation du personnel, certaines mesures du plan social notamment d'ordre social et financier pour les employés qui devront quitter l'entreprise: indemnités extralégales liées à l'ancienneté, à la situation familiale du salarié, ou encore un budget pour accéder à une formation ou faciliter un replacement externe.
Depuis mi-octobre, et l'annonce d'un possible plan social avec 70 emplois menacés, direction de Guardian et OGBL ont mené un bras de fer. Ce lundi, accord a été trouvé pour un plan de maintien dans l'emploi.
L'OGBL et la délégation du personnel de Luxguard II ont été informés ce mardi que la direction de l’entreprise comptait finalement procéder à un licenciement collectif. 49 personnes sont concernées par cette mesure.
Plus de deux semaines après l'annonce de la cessation d'activité de l'équipementier automobile basé à Foetz, LCGB et OGBL annoncent leur intention d'«utiliser tous les moyens légaux nécessaires pour soutenir les salariés» et dénoncent la stratégie de la direction.
A l'Imprimerie Faber «les salariés doivent payer l'addition alors qu'ils ne sont nullement responsables de la mauvaise situation financière», s'insurge L'OGBL. Le syndicat révèle que les 75 salariés perdront 20% de leur salaire et leur 13e mois.
Pour assurer le versement du chômage partiel, de (généreuses) avances ont été versées en début de crise. Et sur les 396 millions de trop-perçu, plus de 1.300 entreprises tardent à rembourser.
La Cour des comptes européenne vient d'annoncer qu'elle allait vérifier les effets de la législation destinée à «encourager les pratiques de surveillance commune». Mais aussi veiller à l'absence d'une trop forte concentration dans certains centres, tels que le Luxembourg.
Les États de l'UE adoptent des mesures pour plus de visibilité en matière de politique d'imposition, et le ministre de l'Économie Franz Fayot veut que le Luxembourg suive ces dispositions.
Les deux entreprises familiales, spécialistes du voyage, ont décidé de se réunir. Le nouveau groupe sera baptisé Travel Group Luxembourg et compte à ce jour 130 salariés.
Deux jours après l'annonce du départ de Commerzbank et de l'incertitude de 200 salariés, c'est au tour de la banque japonaise d'indiquer mettre en place une restructuration de son entité au Luxembourg. Une vingtaine d'emplois est concernée, indique jeudi l'Aleba.
Pour assurer le versement du chômage partiel, de (généreuses) avances ont été versées en début de crise. Et sur les 396 millions de trop-perçu, plus de 1.300 entreprises tardent à rembourser.
La Cour des comptes européenne vient d'annoncer qu'elle allait vérifier les effets de la législation destinée à «encourager les pratiques de surveillance commune». Mais aussi veiller à l'absence d'une trop forte concentration dans certains centres, tels que le Luxembourg.
Les États de l'UE adoptent des mesures pour plus de visibilité en matière de politique d'imposition, et le ministre de l'Économie Franz Fayot veut que le Luxembourg suive ces dispositions.
Les deux entreprises familiales, spécialistes du voyage, ont décidé de se réunir. Le nouveau groupe sera baptisé Travel Group Luxembourg et compte à ce jour 130 salariés.
Deux jours après l'annonce du départ de Commerzbank et de l'incertitude de 200 salariés, c'est au tour de la banque japonaise d'indiquer mettre en place une restructuration de son entité au Luxembourg. Une vingtaine d'emplois est concernée, indique jeudi l'Aleba.