Les femmes ont été plus enclines à signaler des changements dans leur état de santé après la vaccination que les hommes.
Photo : AFP
Ce qui fait trois déclarations pour 1.000 vaccins anti-covid administrés... Et le rapport de pharmacovigilance de la direction de la Santé est rassurant: 80% des effets indésirables enregistrés constituaient des réactions «non graves» et «sans conséquences».
Ce qui fait trois déclarations pour 1.000 vaccins anti-covid administrés... Et le rapport de pharmacovigilance de la direction de la Santé est rassurant: 80% des effets indésirables enregistrés constituaient des réactions «non graves» et «sans conséquences».
Face aux doutes sur la pertinence de la vaccination ou les fake-news circulant sur le ratio bénéfice/risque des injections, le ministère de la Santé a choisi la transparence. Éditant non seulement le suivi quotidien de l'épidémie virale sur son site, mais en publiant aussi un rapport de pharmacovigilance depuis mai dernier. Le quatrième document de la sorte vient d'être mis en ligne, et porte sur près de 593.000 doses administrées. Bonne nouvelle : ni le nombre d'effets secondaires, ni leur gravité ne progresse de façon préoccupante.
Ainsi, des quelque 359.000 personnes vaccinées à la date du rapport (6 juillet), seulement 1.550 signalements de maux divers après piqûre sont remontés aux autorités sanitaires. Et cela de la part des patients eux-mêmes ou des professionnels de santé. Calculez, cela fait à peine 0,4% de volontaires se plaignant d'un trouble quelconque. Autrement dit 3 signalements pour un millier de vaccinations anti-covid. Bref, bien peu...
Et encore, parmi l'ensemble de ces signalements recensés depuis quatre mois, là encore ''seulement'' 312 ont été classifiés comme se rapportant à des situations graves. Pour le reste (80% des signalements donc), il ne s'est agi en fait que de maux de tête temporaires, de douleurs ou des réactions cutanées à l'endroit de l'injection, de sensations de vertige, de nausées, une poussée de fièvre, etc. Bref, ce que le rapport de pharmacovigilance qualifie de «symptômes transitoires et sans conséquences».
Au passage, la direction de la Santé rappelle d'ailleurs qu'il s'agit bien là de contrecoups «connus et décrits dans la notice des vaccins». Pas de maux inconnus donc, ni «vices cachés».
Majoritairement, ce sont des patientes (888) qui ont préféré signaler une perturbation de leur état de santé après avoir reçu première ou seconde doses.
Des troubles signalés affectant plus particulièrement la tranche d'âge des 25-59 ans (pour les formes non graves) et les 70-79 ans (pour les signalements graves). Mais là encore, il convient de relativiser, ces faits ne concernant que 1% des vaccinés de la première catégorie, et 0,08% des septuagénaires ayant reçu l'un ou l'autre des quatre sérums autorisés. Là encore, vraiment bien peu.
Alors que la campagne vaccinale s'apprête à prendre un nouveau visage, et que 326.694 personnes disposent d'un «schéma vaccinal complet» au Luxembourg, la division de la pharmacie et des médicaments continuera à recenser toutes les remontées de troubles de santé possiblement en lien avec une injection anti-covid. En cas de doute, chacun peut toujours s'adresser à la helpline santé qui reste active, y compris pendant les vacances : tel. 247 655 33.
L'Agence européenne des médicaments (EMA) a approuvé vendredi l'utilisation de ce sérum anti-covid pour les jeunes Européens. C'est le second après celui de Pfizer/BioNTech à obtenir cet aval.
Sept mois d'envoi auront permis au ministère de la Santé d'adresser à l'ensemble des habitants de plus de 12 ans un courrier pour prendre rendez-vous pour recevoir leur injection anti-covid.
A partir de la mi-août, une première moitié du dispositif vaccinal sera mis à l'arrêt. Une décision qui intervient alors qu'un peu moins de la moitié de la population luxembourgeoise disposerait d'un ''schéma vaccinal complet''.
Le ministère de la Santé estime à 0,15% le ratio des personnes disposant d'un schéma vaccinal complet qui ont pu être à nouveau contaminées par le covid au Luxembourg.
A l'étude depuis le mois de mai, la possibilité d'injecter deux vaccins différents à un même patient deviendra réalité à compter de vendredi, indique Paulette Lenert. La ministre de la Santé mise notamment sur cette mesure pour renforcer les effets de la vaccination face aux variants.
Le maintien de l'hospitalisation du Premier ministre constitue un événement aux multiples conséquences, selon le politologue Philippe Poirier. Ce dernier y voit notamment le fait que certains ont oublié que la pandémie pouvait encore avoir «de vrais effets» au Luxembourg.
Alors qu'il a reçu une dose d'AstraZeneca le 6 mai, le Premier ministre luxembourgeois a été testé positif au covid-19. Le Dr Schockmel explique comment cela est possible et pourquoi ce phénomène ne signifie pas pour autant que la vaccination a échoué.
Le Premier ministre a des nouvelles décevantes concernant le projet de centre de données Google à Bissen. Mais le sujet n'est pas encore totalement clos.
Perçu comme le maillon faible du secteur bancaire en Suisse, l'établissement a vu le cours de son action perdre jusqu'à 30% pour toucher un nouveau plancher historique à 1,55 franc suisse.
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