Crise de foi et péchés pardonnés
Dejvid Sinani, sous le regard de Farid Ikene, a ouvert et refermé le récital offensif du Fola. Le maestro a toujours le coup d'oeil.
Crise de foi et péchés pardonnés
Certains se seraient réfugiés derrière un amas d'excuses. D'autant qu'elles ne manquaient pas. Régis Brouard, lui, a balayé tout ça d'un revers de la main et s'est fendu d'un discours cash pour expliquer la défaite de son Racing face au Fola (1-3). «Il me manque ce supplément de quelque chose.»
Cette exigence dans le discours traduit ces lacunes apparues tout au long d'un match débridé, reflet de la philosophie de jeu résolument tournée vers l'avant des deux entraîneurs, que le club de la capitale aurait pu faire basculer entre l'approche de la mi-temps et l'heure de jeu ...
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